La catastrophe nucléaire en cours au Japon fait réfléchir : ainsi on (re)découvre que notre jolie côte basque se trouve « peu éloignée » de deux centrales : au nord , à 200 km, se trouve la centrale du Blayais qui a connu quelques frayeurs ( lire ces articles ) ; mais aussi, et on y pense moins, au sud, à 200km, la centrale nucléaire de Garoña, près de Burgos, à proximité de la province basque d'Alava. Et pour nous « rassurer » EITB nous apprend que le Parlement basque d'Euskadi vient de renouveler son exigence de fermeture de cette centrale, qui est, ancienne et , parait-il, régulièrement pointée du doigt par Greenpeace et le collectif local anti-nucléaire Ekologistak Martxan ; tout cela alors qu’'en Espagne on envisageait sérieusement voici peu d'étendre la durée de vie des centrales nucléaires au-delà des 40 ans actuellement fixés comme "limite d'âge". Brrrr!
Commentaires
J'ai lu les articles et ce que j'y apprends ne me rassure pas trop effectivement: mais pourquoi faut-il à chaque fois attendre que le ciel lui tombe sur la tête pour que l'l'humain se décide à réagir: m'enfin!!! construire des centrales dans des zones sismiques et alors qu'ils se sont pris des bombes nucléaires pendant la guerre. A ne rien comprendre ou sinon que l'homme a peu de....mémoire. Sale journée pluvieuse !
Le blog est en noir et blanc ce matin: c'est la déprime les garçons?
Chaque francais est à moins de 300 kms d'une centrale nucléaire. La centrale nucléaire de Fessenheim est construite sur une faille géologique: Le fossé rhénan. Bâle juste à côté a été détruite par un tremblement de terre au 14eme siécle. On a du souci à se faire.