Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

HISTOIRE

  • EXPOSITION "LA DEPORTATION POUR MOTIF D'HOMOSEXUALITE"

    Salle comble pour l' inauguration de l'exposition "la déportation pour motif d'homosexualité" par J.R Etchegaray, Maire de Bayonne; suivie de la conférence de Jean Luc Schwab. L'exposition est désormais visible sur les deux niveaux de la médiathèque de Bayonne au 10 rue des Gouverneurs, du lundi au samedi à partir de 10h et ce jusqu'au 19 février.

    conférence 1.jpg

    conférence 2.jpg

    .brazda.jpg

  • CONGRES DES HISTORIENS DU PAYS BASQUE: 1512 OU LA CONQUÊTE DE LA NAVARRE

    gartxot.jpg

    Image extraite de gartxot-premier-film-d-animation-basque qui propose des clés permettant de comprendre la conquête de la Navarre qui s'amorce déjà au XIIème.

    A partir du 7 et jusqu’au 16 septembre  se tient le troisième congrès des historiens du Pays Basque. Cette année, les différentes communications portent sur la conquête de la Navarre en 1512. Les conférences et  tables rondes ont lieu aujourd’hui  7 à Arrasate (Gipuzkoa) , demain 8 à Leitza (Navarre) , le 14 à  Agoitz (Navarre) et le 15 et le 16 à  Iruñea (Pampelune). Pour connaître le programme complet : cliquez ici

  • DES TUEURS D'ETAT", ENQUÊTE SUR LES GAL SUR CANAL +

    C+.gif

    "Des tueurs d’Etat" : c’est le titre d’un documentaire, qui sera diffusé  ce lundi 19 mars à 22h 45 sur Canal Plus et qui est consacré aux GAL (des commandos  para-policiers et para-militaires agissant sur le territoire français sous les ordres des autorités  espagnoles avec pour  objectif la lutte contre l’ETA) et  qui, entre décembre 1983 et juillet 1987, tuèrent 27 personnes en Pays Basque Nord. Ce fut la vague  terroriste la plus meurtrière en France depuis la guerre d'Algérie.  Lire l'article de Sud Ouest et  l'article du Journal du Pays Basque 

  • LA FEDERATION LGBT CONDAMNE LES PROPOS DE VANNESTE

    federation-lgbt.jpg

    Dans une interview vidéo du 10 février accordée au site LibertePolitique.com, Christian Vanneste, député UMP du Nord, a déclaré :« Il y a aussi des légendes qui sont répandues. Par exemple, il y a la fameuse légende de la déportation des homosexuels. Il faut être très clair là aussi. [...] En Allemagne, il y a eu la répression des homosexuels et la déportation qui a conduit à à peu près 30 000 déportés. Et il n'y en a pas eu ailleurs. Et notamment en dehors des trois départements annexés, il n'y a pas eu de déportation homosexuelle en France. »

    La FÉDÉRATION LGBT condamne fermement ces propos négationnistes de Christian Vanneste sur la déportation homosexuelle en France.

    Les propos du député UMP du Nord sont historiquement démentis par le rapport de Claude Mercier, du 15 décembre 2001, qui dénombrait 210 cas . En 2007, les travaux d'historiens et de chercheurs, compilés dans l'ouvrage La déportation pour motif d’homosexualité en France. Débats d’histoire et enjeux de mémoire, sous la direction de Mickaël Bertrand, apportaient un nouvel éclairage.

    La recherche d'Arnaud Boulligny pour la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (FMD) affinait ce résultat et établissait sans contestation possible l’existence de 63 cas de déportation d'hommes de nationalité française, persécutés pour motif d’homosexualité durant la Seconde Guerre mondiale, dont 6 cas dans la France occupée, notamment à Paris, et en dehors des territoires annexés (Moselle, Bas Rhin, Haut Rhin).

    Derrière ces cas, il y a des hommes à qui nous rendons hommage en les évoquant, la CNIL ayant interdit aux chercheurs la publication de leur identité complète. Parmi eux :
    - Jean Henri T., artiste dramatique arrêté en 1944 à Paris car il entretenait une liaison avec un Allemand.
    - Un danseur d’opéra fréquentant les bals homosexuels clandestins de Paris. Arrêté le 22 août 1943 Place Blanche, il est emprisonné à Nanterre, puis remis le 1er octobre 1943 à la Brigade Mondaine de Paris qui le livre aux forces allemandes en vue de sa déportation.
    - Georges C., homosexuel âgé de 17 ans et originaire de Dreux. Arrêté à Paris en novembre 1941, il est condamné à 5 ans de prison. Interné à Fresnes, il est transféré par convoi de la Gare de l’Est en direction de Karlsruhe (Allemagne). Il meurt de tuberculose dans le camp où il fut déporté.

    Tous les dossiers de déportés ne sont pas dépouillés. Quelques 40 000 des 68 000 dossiers conservés au Bureau des archives des victimes des conflits contemporains ont été ouverts. De nouveaux cas sont donc susceptibles d'être découverts.

    Dans ce contexte, les propos de Christian Vanneste sont donc négationnistes.


    Pour cette raison, la FÉDÉRATION LGBT qui prend acte de l'annonce par l'UMP de son retrait d'investiture aux législatives de juin prochain, mais attend l'attitude de l'UMP quant à sa possible exclusion.

    La FÉDÉRATION LGBT veillera à ce que cette nouvelle provocation de Christian Vanneste ne soit pas pour l'UMP une façon de se racheter une bonne conduite, puisque l'UMP se prononce contre l'Egalité des droits des Lesbiennes, Gays, Bi et Trans, encourageant de la sorte de tels propos ou ceux d'élu(e)s issus de ses rangs, ou affiliés, ayant tenu des propos homophobes, tels Brigitte Barège, Gérard Longuet, Christine Boutin, Lionel Lucas.

    Preuve supplémentaire ; Christian Vanneste réagissant sur Europe 1, à 13h, fustigeait les dirigeants de l'UMP : « S'ils sont assez bêtes pour obéir à un lobby qui défend des idées qui ne sont pas celles du président de la République? manifestement, je pense qu'ils commettront une erreur. »

    La FÉDÉRATION LGBT demande à Nicolas Sarkozy, l'imminent candidat à la présidentielle, cité par Christian Vanneste au soutien de ces thèses, de bien vouloir clarifier sans tarder sa position au sujet des propos négationnistes du député UMP du Nord.

    Nonobstant, la FÉDÉRATION LGBT qui a toujours porté un grand intérêt à l'étude de la déportation pour motif d'homosexualité, et qui avait présenté le résultat des travaux des historiens à ses adhérents en présence de Mickaël Bertrand en février 2008, lors de ses Rencontres à Dijon, étudie la possibilité d'engager une action au pénal contre Christian Vanneste.

    Néanmoins, la FÉDÉRATION LGBT n'entend pas se substituer aux militants spécialistes de cette question. C'est pourquoi elle soutient le Mémorial de la déportation homosexuelle (MDH) dans son intention annoncée. La FÉDÉRATION LGBT se tient à sa disposition pour engager à ces côtés l'action que le MDH jugera utile.

    + infos: http://federation-lgbt.org/

  • DEVOIR DE MEMOIRE:"LE DERNIER PASSAGE", LE RESEAU COMETE/FR3

    Elles s’appelaient Lucienne, Frantxa,  Marga, Maria,  ou Kattalin et faisaient partie  du réseau Comète qui a vu , à partir de 1941 , des  d'habitants du Pays Basque aider des aviateurs alliés, dont les avions avaient été abattus en Belgique, Hollande ou nord de la France,  à passer en Espagne. Certaines comme Frantxa Uzandisaga d’Urrugne y ont  sacrifié leur vie Mais qui s’en souvient encore ?

    'Le dernier passage',  un docu-fiction réalisé par deux jeunes femmes basques, Enara Goikoetxea et Iurre Telleria sera   diffusé par France 3 Aquitaine ce mercredi 5 octobre à 23h50  pour nous le rappeler.

    A cette occasion, Lucienne Saboulard, dernière survivante française du réseau Comète  témoigne dans le  journal Sud Ouest : cliquez ici !

    Ce sont au final 798 hommes qui ont été sauvés, dont 288 par cette voie sud.

    Le devoir  de mémoire est urgent!

     

    Lire aussi un film contre l'oubli dans le Journal du Pays basque

  • DECES DE RUDOLF BRAZDA, DERNIER TRIANGLE ROSE

     RUDOLF BRAZDA.jpg

     Le dernier «Triangle rose» connu, Rudolf Brazda,  déporté à Buchenwald durant la Seconde Guerre mondiale, est mort ce mercredi 3 août .Voici un reportage de du site LGBT YAGG. Vous pouvez aussi relire notre post de l'année passée. Un registre de condoléances est accessible en ligne.

  • PHOTOS DE LA LESBIAN GAY PRIDE SAINT SEBASTIEN 2011

    P1010593.JPG

    P1010614.JPG

    P1010599.JPG

    P1010615.JPG

    P1010616.JPG

     P1010608.JPG

  • MEMOIRE...

    Le documentaire basque "Debekatuta dago oroitzea" (Défense de se souvenir) sera projeté  jeudi 26 mai à la Cité Internationale Universitaire de Paris. Ce film rapporte  la mémoire des 2 000 femmes qui après la guerre civile,  ont été incarcérées et abusées  à la prison de Saturraran, site balnéaire transformé en prison. Source : EITB

     

  • ET UN BRIN...D'HISTOIRE: DU 1er MAI A LA MARCHE DES FIERTES

     gay pride,militant,mobilisations

     

    Le 1er mai 1886, Les syndicats américains organisent une grève pour que la journée de travail soit limitée à 8 heures. Les affrontements entre les manifestants et les policiers font plusieurs morts.

    En France, dès 1890, les manifestants du 1er mai prennent l'habitude de défiler en portant à la boutonnière un triangle rouge. Celui-ci symbolise la division de la journée en trois parties égales : travail, sommeil, loisirs. Le triangle est quelques années plus tard remplacé par la fleur d'églantine puis au début du siècle par le muguet, symbole du printemps en Île-de-France.

    Après la première guerre mondiale, le Sénat français ratifie la journée de huit heures et fait du 1er mai suivant, à titre exceptionnel, une journée chômée.

    C'est pendant l'occupation allemande, le 24 avril 1941, que le 1er mai est officiellement désigné comme la Fête du Travail et de la Concorde sociale et devient chômé ; cette mesure étant destinée à rallier les ouvriers au régime de Vichy.

    En 1947 le 1er mai devient de droit un jour férié chômé et payé pour tous les salariés sans conditions et l’année suivante ce jour est officialisé comme « fête du Travail ».

    En mars 1971, des homosexuels (femmes et hommes) investissent la radio RTL pour interrompre l'émission de Menie Grégoire consacrée à " L'homosexualité, ce douloureux problème ". Se crée dans la foulée le FHAR (Front Homosexuel d'Action Révolutionnaire).

    Le 1er mai de cette année 1971, cinq cents homosexuels participent pour la première fois, au coté du MLF (Mouvement de Libération de la femme) à la manifestation malgré des réactions homophobes de certains syndicats.

    Cette participation aura lieu tous les ans jusqu'en 1978. A partir de cette période s’organisent des marches autonomes, ancêtres de la gay pride devenue aujourd'hui, marche des fiertés.

    Cette année la marche des fiertés de Biarritz ( lesbian gay pride) se déroulera le samedi 18 juin 2011. Vous y êtes toutes et tous attendus!

     

  • LES POILUS DE LA GRANDE GUERRE ETAIENT-ILS TOUS HETEROS ?

     

    poilus-3.png

    Etrange  question me direz-vous en ce jour de commémoration tous azimuts ? L’iconographie, cartes postales et autres illustrations dans les manuels scolaires nous représentent en effet toujours le poilu rêvant de sa Rosalie… mais il y avait statistiquement de nombreux homos parmi les combattants. Curieux, nous avons interrogé notre nouvelle pythie  (Google !) et obtenu des bribes de réponse qu’il nous faut selon la tradition antique interpréter. 

      Ainsi le musée canadien de la guerre écrit (ici)  sur son site " Il y eut peu de cas d'homosexualité rapportés par les soldats dans leurs lettres et mémoires personnels, mais comme il s'agissait d'un crime punissable en vertu du droit militaire on n'en parlait probablement pas." 

     Plus loin une intéressante monographie universitaire de Régis Revenin intitulée : "homosexualité et prostitution masculines à Paris 1870 – 1918" nous apprend que les militaires constituaient 5 % des homosexuels surveillés ou arrêtés par la police des mœurs (c’était plus que les coiffeurs !). Et de rappeler la descente de police à l’hôtel Marigny en 1918 où la police découvrit un certain Marcel Proust en compagnie de soldats. 

    POILUS 14-18.jpg

    Plus généralement l’armée comptait bien de nombreux homos et parfois au plus haut niveau (comment ne pas penser à Lyautey ?) et ces soldats ont combattu aussi courageusement  que les autres dans cette terrible guerre civile européenne. Mais l’homosexualité était  punissable et donc cachée. Et dans la société de l’époque, dans la presse, l’homosexuel (forcément efféminé) est présenté comme un traître potentiel.  

    Alors ne connaîtrons- nous jamais peut-être ces histoires qui ont tant compté dans les vies de ces hommes ? Le rédacteur de feu le site GAYKOSMOPOL  nous conseille « de (re)lire le dernier volume de la "Recherche du temps perdu", le "Temps retrouvé" de Proust pour y découvrir les bordels gays de l'époque, dans lesquels des ouvriers ou des soldats se vendaient aux messieurs plus fortunés. De manière générale, dans toute l'oeuvre, le Baron de Charlus a des relations notamment avec des militaires, et à la fin de l'oeuvre on découvre aussi que le plus beau des militaires, un officier, Saint-Loup, est homosexuel. » 

  • PIERRE LOTI , LA DEMOISELLE DE ROCHEFORT ?

     

    Après nous avoir suggéré l’homosexualité de Gaston Fébus , vicomte de Béarn au XIVème siècle, c’est à Pierre loti  que s’intéresse avec humour le quotidien Sud Ouest .Sous le titre «  La demoiselle de Rochefort » et une photo de Pierre loti en costume d’académicien , Francis Marmande nous invite à juste titre à visiter l’étonnante maison de l’écrivain à Rochefort (Charente-Maritime) et nous raconte moult anecdotes notamment celle-ci : « Lors de sa réception à l'Académie, à l'âge de 41 ans, juché sur des talonnettes à ressorts, il entendit courir le bruit parmi les immortels vieillards qu'il se serait accoutré d'un corset de femme sous l'habit pour accentuer formes et cambrures. Il leur fit adresser une photo de profil, avec un pagne réduit à l'essentiel, sous-titrée de sa main : « Ça, c'est pour montrer les baleines de mon légendaire corset. » Aucun n'assista à ses funérailles nationales. »

     

    Lire tout l’article sur le site de Sud Ouest

  • SEX AND THE CAVERN...

     

    Non, non contrairement à l’illustration ci-dessus, c’est un sujet sérieux ! A découvrir sur www.rue89.com un très intéressant article sur la vie sexuelle de nos ancêtres préhistoriques. Nous y apprenons   que  pour des questions de morale et de pudibonderie, les anthropologues nous  passaient sous silence des  petites pratiques érotiques préhistoriques, pourtant présentes sur les peintures et autres gravures : sexe oral ,  godemichés en os ou en pierre, et même peut-être coït anal entre hommes…

     

    Mais les temps changent car la Fondation Atapuerca et la municipalité de Santillana del Mar préparent  une exposition intitulée « Sexo en piedra », qui mettra en scène les usages érotiques des groupements humains préhistoriques !

     

    Découvrez vite tout l’article en cliquant : ICI 

  • ILS SE MARIERENT ET EURENT BEAUCOUP D'ENFANTS...

    BLANCHE NEIGE ET APRES.jpg

    Saint-Jean-de-Luz renoue avec le faste d'antan en célébrant le mariage  du futur monarque absolu avec l'Infante d'Espagne, le 9 juin 1660  dans l'église Saint Jean-Baptiste. Mariage d’ailleurs très politique : Louis  qui avait alors 21 ans, était en fait éperdument amoureux de Marie Mancini, nièce de Mazarin…mais il s’agissait  pour les royaumes de France et d’Espagne  de trouver un apaisement après un conflit interminable et économiquement épuisant …et le traité des Pyrénées conclu l’année précédente sur l’île des Faisans s’accompagnait du contrat de mariage : Bref tout sauf un mariage d’amour !

    Mariage coûteux aussi car le passage de la Cour en Pays Basque laisse bien «une trace impérissable»…mais  surtout fiscale. «En effet, constamment à court d'argent, l'Etat a décidé en octobre 1659 de faire peser les frais du voyage royal sur les villes du royaume. Des sommes considérables doivent être versées, occasionnant l'instauration de nouvelles taxes qui accableront plusieurs années les fragiles finances locales» précise l'historien Peio Etcheverry-Ainchart (« Louis XIV et le Pays Basque » Elkar,12 euros).

    La suite ? la reine remplit à merveille son rôle de reproductrice puisqu'elle donna six enfants à Louis XIV , malheureusement un seul survécut, le Grand Dauphin…tragédie due à la consanguinité  et Louis prit beaucoup de maîtresses…Rien ne fut donc épargné à la malheureuse reine , puisqu'elle dut supporter les conquêtes de son royal époux parfois même jusque dans son carrosse lors des déplacements de la cour en province…

    Marie-Thérèse finit  par se replier sur elle-même et sombra dans le mysticisme et la dévotion et selon certains récits  ses derniers mots furent : "depuis que je suis reine, je n'ai eu qu'un seul jour heureux" Quel fut ce jour ???

    Bref, oublions ces considérations peu glorieuses, pour en revenir aux festivités 2010, dont voici le programme :

    Vendredi 11 juin

    De 9.00 à 18.00 : La ville et la Société des Sciences, Lettres et Arts de Bayonne organise un colloque cinq siècles de relations franco-espagnoles.

    10.15 : Le mariage de François 1er et d'Eléonore d'Autriche : le poids des enjeux politiques par Michel Combet, maître de conférence de l'Université Bordeaux 3.

    11.35 : Le temps de la négociation : le mariage de Marie-Thérèse d'Espagne et de Louis XIV» par Lucien Bély, professeur de l'Université Paris-IV Sorbonne.

    15.25 : Louis XIV, le portrait d'un jeune roi vainqueur par Olivier Chaline, professeur de l'Université Paris IV Sorbonne.

    Samedi 12 juin

    De 10.00 à 15.00 : Découverte de la Maison Louis XIV et de la Maison de l'Infante Maison Louis XIV.

    21.00 : Concert et bal baroque.  Place Louis XIV.

    Dimanche 13 juin

    15.00 : Conférence 9 juin 1660, mariage royal à Saint-Jean-de-Luz, les noces de Louis XIV et de l'Infante Marie-Thérèse. Eglise Saint Jean-Baptiste