« Sauvage » sera la dernière sortie sportive de 2011 promettait... le sms ;et le défi fut relevé (et de quelle manière !) ce dimanche par une quinzaine de vaillants, de valeureux, que dire, héroïques, Bascos, surmotivés, transcendés, habités par l’éternel au pied du Mont Sinaï… pardon Buztanzelai.
Ce fut l’assaut, terrible, cauchemardesque, dantesque que les quelques photos ci-dessous ne sauraient vraiment rendre. Ah si lecteur tu avais pu dépasser ta misérable paresse dominicale pour t’élever et te joindre au groupe des élus, alors là, tu aurais pu raconter à ta descendance ...
L’épreuve fut donc effrayante, terrifiante, infernale mais à chaque pas, à chaque rocher, à chaque redoutable aspérité, chacun savait pouvoir compter sur l’autre, sur la solidarité sans faille du compagnon pour s’arracher vers le sommet et accéder enfin à l’émerveillement, à l’éblouissement, au nirvana… avant de s’effondrer terrassé (e) par cette acension insensée…
Que le premier vermisseau qui ose élever le moindre commentaire, le moindre doute, le moindre ricanement sur ce récit soit immédiatement …banni à tout jamais ( relire à ce propos l’utile article 6 des statuts de l’association). Faut quand même pas dépasser les bornes !
Commentaires
Toujours aussi frappés les Bascos!
Il fume le narguilé ou quoi le mec en blouson rouge? En lisant le récit déjanté de la rando sur le Buztanzelai ( un nom pareil!) on comprend que vous avez trop goûté aux herbes sauvages...moi ça me donne envie de venir faire un tour pour mieux vous connaître
Yvan ne t'y fies pas;les valeurs qui président dans ce groupe, sont le mépris,et l'humiliation pour le faible et le vieillissant. Cet article est pure propagande et ne dit rien du calvaire enduré par celui ci, justement ,dont le blouson rouge,pour commencer cette journée si penible, fit l'objet de cruels colibets. Préambule aux inqualifiables moqueries qu'il dut subir pour avoir (et c'était la première fois)montré des signes de manque de virilité sportive, avoir,en 4 mots,"laissé tomber le masque", ses pauvres vieilles jambes glabres lui faisant ce matin là, cruelement défaut.
Le narguilé aux herbes sauvages n'effacera jamais la blessure.
Yvan ; J'ai besoin d'en parler; Viens; Je tattends....mais mefie toi,ils t'attendent aussi, je le sais...mais pour mieux te détruire;
A deux Yvan , on est tellement plus fort.