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Ce dimanche, une petite dizaine de Bascos ont bravé les annonces caniculaires et sont partis sur les sentiers des crêtes du Gorramendi cheminant jusqu’à l’Irubelakasko . Ils ont été bien inspirés car c’est un vent relativement frais qui les a accompagnés jusqu’en fin d’après-midi et la descente dans la lourde moiteur de la vallée. Et en prime, un panorama à couper le souffle à 360°. Quelques photos avant le reportage complet sur le site www.lesbascos.fr
Ce samedi était l’occasion de découvrir la magnifique vallée de l'Hergarai ( communes de Bussunarits, Ahaxe, Béhorléguy, Mendive et Lecumberry ) et bien sur le pic de Behorleguy avec la 4ème édition du Ttutturu trail : un parcours de 24 km que les baroudeurs adoreront. Voici les résultats avec les temps : cliquez ici ! Et pourquoi pas une participation des Bascos en 2013, surtout qu'une rando est toujours organisée dans la matinée et qu'il existe une version light avec une course de 12 km?
Ce sont près d’une soixantaine de Bascos qui ont pris part à l’assemblée annuelle de l’association ce samedi 8 septembre. Les participants ont validé le fonctionnement en 5 groupes autonomes qui vont désormais faire vivre l’organisation. C’est donc la neuvième saison des Bascos qui commence.D’ores et déjà des premières activités sont en ligne sur le site : www.lesbascos.fr/ Dans les prochaines semaines les groupes préciseront leurs propositions pour 2012 / 2013.
Non, non il n’ y a pas erreur ! La photo ci-dessous fait bien partie de la série sur les gorges d’Olhadubi…
En fait une partie des randonneurs arrivés la veille ont eu l’heureuse surprise d’une invitation par une charmante artiste rencontrée à la troisième édition du salon d’Art de Soule à Tardets pour un spectacle transformiste burlesque donné par la troupe « les Inoubliables ». Une très agréable soirée selon les participants qui ont adoré.
Bref, dimanche au petit matin ce sont douze Bascos qui se sont élancés vers la passerelle d’Holzarte, construite en 1920 par les ouvriers italiens d’une scierie de Tardets pour permettre l'exploitation forestière du bois , passerelle qui surplombe le cañon à plus de 180 m… L’édifice a été remis à neuf voici deux années.
Le groupe a ensuite entamé le tour des gorges d’Olhadubi, d’abord à travers une magnifique forêt de hêtres, puis par un sentier oublié à flanc de montagne avec une vue superbe sur des précipices creusés il y a 80 millions d'années…Quelques photos avant la mise en ligne du reportage complet sur le site de l'association.
Ah ! Il aurait dû se méfier…voici quelques années déjà, une précédente tentative de rando nocturne sur ce même parcours s’était soldée par une pitoyable rébellion des troupes ; tout cela en raison d’un misérable orage, aussi inattendu que bref…Mais Bernard ne croyait pas au signe indien. Il commença par noter la fonte des effectifs sous les effets de la canicule annoncée ; une douzaine de Bascos avaient quand même répondu présents pour cette virée sur Donostia. D'un optimisme inoxydable, il était confiant.
Et pourtant, dès les premiers instants, la tragi-comédie s’enclencha ; inexorable. Dés le premier rond point, M, éternel étourdi, commença par perdre de vue ses petits camarades et se mit à tourner frénétiquement tel un insecte attiré par la lumière… Il fallut procéder à un arrêt scabreux de la troupe sur la bretelle d’autoroute, le temps de remettre les choses en ordre.
Toute la petite équipe prit alors la direction de Passaia où les passagers descendirent tandis que les chauffeurs filaient sur Donostia garer leurs véhicules au point d’arrivée de la rando.
Rendez-vous était donné à Pasajes, les uns prenant le bus pour revenir de Donostia, les autres prenant le bac pour traverser le port …Pasajes …aie ! aie ! aie ! terrible imprécision pour un géographe. Bernard le comprit mais trop tard dans le bus qui fonçait dans la mauvaise direction (il existe en effet plusieurs Pasajes et c’était pas le bon). Fatalitas !
Mais chacun le sait rien n’arrête les Bascos : en une seconde ils décidèrent de réagir: stopper un chauffeur totalement éberlué, dévaler du bus, foncer comme des fous à travers les ruelles pour finir par réquisitionner la première embarcation venue et rejoindre par la mer Pasajes…Pasajes San Pédro (bien sur !) où les autres les attendaient à l’arrêt de la ligne de bus…
Ce furent d’émouvantes retrouvailles. De courte durée : Antxon, l’honorable correspondant d’Usurbil appelait pour signaler qu’un incendie avait ravagé dans la nuit une partie du parcours de la rando et qu’il ne garantissait pas la faisabilité de l’opération … La totale! Malgré tout un point positif : la température affichait un tendre et doux 23°…
Les Bascos s’élancèrent donc sans véritable certitude sur la conclusion de la marche. Mais à cœurs vaillants rien d’impossible. Mûe par une solidarité sans faille (lol ! toute l’expédition a été contrainte de signer un engagement à ne pas divulguer quelques « menus détails » risquant de compromettre le triple A des Bascos) la petite troupe réussit finalement non seulement à passer mais à arriver largement à temps pour siroter un délicieux rosé pamplemousse avant d’assister ébahis à un fabuleux feu d’artifice. Instants magiques.
Mais le destin guettait toujours…A peine descendu sur la ville et avoir rejoint Antxon et son époux ( deux hommes mariés ? Si Monseigneur l’évêque de Bayonne savait çà !) , A constata avec effroi qu’il avait égaré le ticket du parking. Recherches aussi désordonnées qu’infructueuses. De guerre lasse tous nos Bascos se réfugièrent dans un bar pour une canã bien méritée, la bière ayant de sérieuses vertus réparatrices comme chacun le sait.
Les uns décidèrent alors de rejoindre « une auberge de jeunesse » réservée par le web, s’enfonçant sans le savoir dans de nouvelles aventures nocturnes qui mériteraient à elles seules un autre post…les autres reprenant le chemin du retour ; enfin en principe…
Un merveilleux marchand de glace stoppa certains gaillards dans leur élan. Ils ne surent résister à tant de plaisirs réunis.
Ils dégustaient religieusement d’immenses cornets préparés avec tout l’amour du métier lorsqu’un des lascars, B, prit conscience qu’il n’était pas dans le bon groupe, que le chauffeur qui le transportait s’était sans doute déjà envolé avec armes et bagages et surtout les clés de son appartement. Oups !
Et de courir comme des dingos direction le kursal …d’où surgit E, telle Glenn Close à la fin des Liaisons fatales , hurlant après cet étourdi que tous attendaient depuis près d’une demi heure. Eclats de rire, jaune pour certains.
Stoïque et décidé à achever dans la dignité la conduite de cette équipée étonnante, Bernard regagna de son côté son véhicule et se dirigea vers la sortie. Il eut beau introduire le ticket dans tous les sens, la barrière refusait de s’ouvrir. Alertée par le blocage qui se créait la sécurité arriva et constata sans sourire que "le leader charismatique" (lol) essayait de sortir avec un ticket périmé de la ville de… Bayonne ( confusion à mettre peut-être sur le compte de l’âge).
La voiture filait maintenant sur l’autoroute. Bernard fit remarquer que les camions étaient décidément mal éclairés. Silence embarrassé. Un passager lui fit délicatement remarquer que sa perception s’améliorerait s’il enlevait les lunettes de soleil, oubliées sur son nez depuis la fin de l’après-midi.
Il y a des jours comme çà…
Pour voir les photos: cliquez ici !
Rien de tel pour échapper à la canicule qu'une escapade sur l'un des plus beaux sommets pyrénéens, le Balaïtous, le premier sommet dépassant les 3000m, depuis la côte Atlantique ! C’était l’objectif des Bascos ce week-end. Mission accomplie, ce dimanche 19 août avec 10 heures de marche, un dénivelé positif de 1300m et 1900m en négatif, une grande partie dans les pierriers et les chaos granitiques où il faut régulièrement mettre les mains… et quelques montées d'adrénaline sur 2 ou 3 passages un peu aériens … Mais, la récompense était au sommet. Superbe !
Source photos : B L.
Ce samedi 18 août, les Bascos vous invitent à une courte rando nocturne de Pasajes à Saint Sébastien ( durée: 3h, dénivelé: 300m cumulés) pour assister au dernier feu d'artifice des fêtes sur les hauteurs de Donostia. Rendez-vous est donné pour le départ à 17h à Bayonne nord. Détail important : une partie de la rando s'effectuant dans la nuit, ne pas oublier de se munir d'une frontale ou d'une lampe torche ! C’est ouvert à tout le monde mais n’oubliez pas de vous inscrire au 06 69 64 36 27 ou lesbascos@gmail.com
Pour le détail de la rando: cliquez ici !
Plus d’une vingtaine de Bascos ont répondu à l’invitation de Florence ce samedi aux fêtes de Bayonne Pour voir les photos : cliquez ici
Ce dimanche les Bascos étaient sur les pas de San Juan de Gaztelugatxe, non loin de Mundaka en Biscaye ; l’occasion de découvrir cet ermitage fondé au XIème siècle sur un incroyable piton rocheux et devenu depuis le sanctuaire maritime le plus connu du Pays basque. Voici quelques photos de la sortie. Prochain rendez-sportif le week-end du 4 et 5 aout pour l’ascension du Balaïtous (3144m) réservée aux plus aguerris (inscriptions closes).
Samedi les Bascos sont partis à l’assaut du pic des moines ( 2349m), un belvédère exceptionnel sur la vallée d'Aspe et la vallée d'Ossau, sans compter les sommets aragonais au Sud. Voici quelques photos. Prochain rendez-vous, dimanche 22 juillet pour une rando originale dans la réserve de la biosphère d’Urdabaï, non loin de Mundaka et de l’incroyable chapelle San Juan de Gaztelugatxe, un des plus beaux sites du Pays Basque. Pour y participer inscrivez-vous par mail à lesbascos@gmail.com ou au 06 69 64 36 27.
Les Bascos étaient de sortie samedi sur les crêtes d’Aiako Harria ( les trois couronnes). Pour voir toutes les photos : cliquez ici !
Les Bascos nous donnent rendez-vous ce samedi 23 juin 20h parking du Traouc à Seignosse , pour un apéro sur la plage des casernes. Chacun contribue au buffet commun avec un plat sucré ou salé et une bouteille.
+ infos : 06 69 64 36 27
Jeudi 17 mai c'est la journée mondiale contre l'homophobie. Les Bascos vous proposent à l'AUTRE CINEMA de Bayonne ( 3 quai Amiral Sala) à 19h 30 une soirée ouverte à toutes et tous avec apéro / expo / film "Week-end" : les amours naissantes de deux garçons après leur rencontre en club. Juste et touchant.