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basque

  • LES BASQUES DE SAINT PIERRE ET MIQUELON FONT AUSSI LA FÊTE !

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    Au sud de l'île canadienne de Terre-Neuve, l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon (242 km et 6530 habitants !) est habité depuis le XVIIème siècle  par de nombreux descendants des Basques.

     

     On le découvre avec le drapeau de l’archipel qui représente la Grande Hermine, le navire sur lequel Jacques Cartier débarqua à Saint-Pierre le 15 juin 1536 et sur le coin gauche  des motifs qui rappellent les drapeaux des trois principales régions d’origine des habitants de Saint Pierre et Miquelon : Pays Basque,  Bretagne et Normandie.

     

    Samedi dernier a débuté la traditionnelle fête basque qui devrait durer jusqu’au 26 août : Au programme  parties de pelote, de pala ancha,  démonstrations de force basque, des concerts,  bal populaire etc.

     

    L'animation musicale de la Fête Basque de Saint-Pierre-et-Miquelon est assurée cette année par le groupe Gau-Aïnarak, originaire de Jatxou !

     

     

     

    Découvrez Saint Pierre et Miquelon !

     

  • JEUDI 18 MARS 18 H SAINT JEAN DE LUZ : FEMME ET BASQUE

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    Sculpture de Francisco Leiro (Biarritz)

    Dans le cadre de la quinzaine Culture basque, le service des affaires culturelles et l'Institut culturel basque organisent une conférence demain à 18 heures à la mairie de Saint-Jean-de-Luz sur le thème des femmes dans la société basque.

     Marikita Tambourin, ethnologue et écrivain, interviendra sur la condition des femmes au Pays Basque au cours des siècles, sur leur liberté ou leur soumission, sur la nature de la société basque, est-elle matriarcale ou patriarcale. Elle se référera à l'histoire et à la législation, aux croyances et aux coutumes, aux chants et à la littérature.

     Entrée libre!

  • LA PREMIERE MISS ETAIT BASQUE !

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    Lors de la première édition de « Miss France » en 1920, 1 700 jeunes filles s’inscrivirent et, après une première sélection de 49 candidates par un jury, elles parurent sept par sept pendant sept semaines sur les écrans des cinémas, pendant l'entracte. Les spectateurs  recevaient  à l’entrée un bulletin pour voter.

     

     La première lauréate , élue à une majorité écrasante,  fut  donc Agnès Souret,  âgée  alors de 17 ans… Des cheveux bouclés bruns en cascade dans le cou, des yeux de chatte et cet air langoureux propre aux jeunes filles des années 20... Elle était  née à Biarritz, en 1902 , basque par sa mère et bretonne par son père. 

     

    Du jour au lendemain, le nom d’Agnès Souret fit le tour du monde. Comme son idole Sarah Bernhardt, Agnès Souret rêvait de la scène. Sa première tentative au cinéma fut un premier rôle dans le film « le lys du Mont Saint michel" qui connut un bide retentissant.   Elle travailla alors, sans vraiment convaincre, comme modiste et poursuivit finalement sa carrière  dans le domaine de la danse, en devenant , comme sa mère avant elle, danseuse au Ballets de Monte-Carlo.  Elle fut ensuite meneuse de revue aux Folies Bergères .

     

    La maison de famille d'Espelette avait été pendant ce temps renommée Ederrena (la plus belle). Entre ses revues et tournées, Agnès Souret revenait de temps à autres dans son Pays basque natal. On la croisait sur la croisette de Biarritz, le long de la Grande Plage, avec son chien Cricri ou sur un cheval. Elle buvait le thé dans un service en porcelaine. (voila des détails qui plairont à certains Bascos…)

     

     Mais elle connut un destin tragique, emportée en 1928 par une crise d’appendicite au cours d’une tournée en Argentine. Sa mère,  vendit tous ses biens, maison comprise afin de rapatrier sa dépouille et lui offrir un caveau à Espelette.

     

    Dans le cimetière du village, adossé au mur de l’église se trouve le mausolée en marbre rose à colonnes Art déco orné de roses et réalisé par le sculpteur Danglade. Classée Monument historique en 2006, la tombe est désormais la propriété de la commune.

     

    Si le hasard vous conduit du côté d’Espelette, ne manquez pas de vous arrêter pour saluer la première Miss France, connue sous l’expression «  la plus femme de France »

     

    Source : « Pays basque insolite et secret » aux éditions Jonglez, 17, 90 €

  • EN PISTES !

     

    La dernière édition de « la semaine du Pays basque » propose un zoom sur le ski près de chez nous. Alors que la saison de ski 2009 commence et que la plupart des stations vont ouvrir leurs pistes, écrit Amaury Guillem, petit tour d’horizon des stations du département à moins de 150 km de la Côte basque :

     

    - Les plus proches : Iraty (ski de fond et raquettes ; infos : 05 59 28 51 29) et la Pierre Saint Martin (ski alpin ; infos : 05 59 66 20 29 )

     

    -Moderne et familiale : Gourette (ski alpin notamment pour les débutants ; infos : 05 59 05 12 17)

     

    - Les glisses à bas prix : Artouste (23 euros la journée, 18 pour les étudiants ! infos : 05 59 05 34 00)

     

    - Côté espagnol : Le Somport à cheval sur la frontière (infos : 05 59 36 00 21), Astun-Candandchu ( ski alpin et de fond ; infos : 00 34 974 37 30 88) et Formigal (infos : 00 34 974 49 00 00).

     

    Formigal, (photo ci-dessus),c’est  la prochaine destination des bascobaroudeurs les 16 et 17 janvier 2010. Cette station  offre pas moins de 97 pistes, sur 137 km (29 rouges et 38 noires), 4 itinéraires « freeride », 12 snowparks, un boarder-skicross, 2 circuits de ski de fond, une piste de ski de fond, une piste de luge, un circuit moto-neige, un circuit raquettes un circuit traîneau. Bien que du côté espagnol, Formigal ne se trouve qu’à 123 km de bayonne.

     

    Un désistement de dernière minute a libéré une place parmi le groupe des Bascobaroudeurs. Si  motivé(e),  un mail à bascobaroudeurs@free.fr.

     

    Source: 

    Semaine Pays basque.jpg