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  • NE RATEZ PAS LA PASTORALE DE ROQUIAGUE !

    soule, pays basque, euskal herria

    Pour celles et ceux qui ne savent pas encore ce qu’est une pastorale, sachez qu’il s’agit , pour simplifier,  d’une sorte de comédie musicale ancestrale,  extrêmement codifiée, organisée par et avec les villageois d’une  commune de Soule.

    Le 29 juillet , la Soule et Roquiague ( proche de Barcus) s’apprêtent donc à donner la pastorale intitulée "Ameriketan Eüskaldünak José Mendiague" et écrite par Jean Bordachar. Elle aura pour toile de fond la vie et l'oeuvre de José Mendiague (1845-1937).

     « C’est l’histoire d’un jeune homme au siècle dernier, né aux Aldudes, puis qui a vécu jusqu’à l’âge de 18 ans à Hasparren, date à laquelle il s’est trouvé forcé d’émigrer en Amérique du sud, comme tant d’autres à son époque. José Mendiague a ensuite été le témoin des guerres de pouvoirs et des nombreux changements intervenus dans la société du début du XXème siècle, mais c’était surtout un grand poète nostalgique de son Pays basque, qui méritait d’être connu et reconnu à la fois pour ses écrits et ses idées », raconte l’auteur.  Pour en savoir + : cliquez !

    Lire l’article du Journal du Pays Basque et découvrez la pastorale ici !

  • A DECOUVRIR: LA PASTORALE DU VILLAGE DE LARRAU EN SOULE

    pastorale

     

    Dimanche 7 et  samedi 13 août, les habitants du village  de Larrau feront revivre la vie de l'homme politique basque Telesforo de Monzon dans une pastorale, véritable théâtre médiéval qui voit s’opposer les bleus (les bons), aux rouges  (les méchants)… Le tout est en basque souletin et attire des milliers de personnes car le spectacle mêle scènes de chants, de danses et de batailles, le tout  avec  orchestre  et   makilas (bâtons) avec lesquels les acteurs martèlent le sol. Un livret bilingue basque-français permet de suivre l'histoire pour les non bascophones.

    Début de la pastorale 15h 30. Entrée 13 euros( gratuit pour les moins de 14 ans) à réserver à la  Mairie de Larrau (05.59.28.62.80) ou  dans les offices de tourisme de Tardets (tel. 05 59 28 51 28), Mauléon (tel. 05.59 28 02 37), St Palais (tel.05. 59 65 71 78) ou St Jean Pied de Port (tel. 05. 59 37 03 57), mais aussi à la librairie Louis XIV de Saint-Jean-de-Luz  ( bus depuis cette ville possible pour 13 euros)

    En savoir + : cliquez !

  • BASCOS DANS LA FORÊT....

    Les Bascobaroudeurs organisaient  samedi dernier une sortie dans la mystérieuse forêt des Arbailles aux limites de la Basse Navarre et de la Soule . Voici quelques photos ; retrouvez l’album complet en cliquant ici. 

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  • LES AVENTURES DES BASCOS SANS RAQUETTES, NI SKIS...NI NEIGE !

    Les chaleurs printanières de ces derniers jours ont provoqué non seulement  la fonte des neiges …mais aussi celle des Bascos : une petite dizaine de gaillards et de gaillardes ont néanmoins répondu présents pour le week-end raquettes et ski mais… sans neige : Et dire qu’une précédente sortie en novembre sur ce même site avait été annulée en raison…des trop fortes chutes neigeuses ; à ne rien comprendre  ma douce amatxi !

    Bref, pas du tout découragés nos petits Bascos ont donc décidé de s’attaquer aux gorges d’Ehujarre et se sont enfoncés sans regrets  dans cette « faille » mythique. Long et lent périple dans le silence et la méditation…jusqu’au plateau où poursuivis par un méchant brouillard nos vaillants  montagnards n’ont dû leur survie que dans une plongée brusque dans la vallée ; cet épisode étant marqué par la disparition de notre webmaster préféré qui « papoti-papotant » n’a pas suivi les consignes et  s’est égaré au milieu des ronces pendant une petite heure…Rassurez-vous son retour a été fort digne !

     Dîner rustique, au coin du feu dans la petite auberge de Sainte Engrâce avant de s’effondrer exténués après ces 7 heures de crapahutage. Nuit réparatrice, bien à l’abri pendant que le vent se déchainait au dehors. Au petit matin, départ pour la station de La Pierre Saint Martin, guère enneigée, pour un petit café et une petite expérience de tyrolienne : Pour épater son petit monde, Loulou n’a pas hésité à s’élancer dans le vide et atterrir non sans  élégance sur la piste. 

     Puis poursuite du « week-end touristique » avec la découverte de la mascarade souletine d’Alcay, histoire de vérifier si les « hordes noires  paillardes, sauvages, dansant d’une manière plus violente parfois même obscènes » dixit le journal du Pays basque,  étaient à la hauteur de leur réputation : petite déception sur ce point ! Et pour finir « ce week-end sportif »,  déjeuner dans une des  bonnes tables de Tardets. Les photos de ces trépidantes aventures ( ainsi qu’une vidéo !) devraient être bientôt en ligne sur le site des Bascobaroudeurs. 

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  • SAINTE-ENGRÂCE : DECOUVREZ LA MASCARADE SOULETINE

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    De décembre à mars, au Pays basque, les traditions mettent en évidence un temps consacré à repousser la vieille année et les âmes errantes, à réveiller l’ours, à favoriser la fertilité de la terre et des animaux pour obtenir un grand troupeau, à organiser les mariages qui permettront le renouvellement des générations… La plupart de ces rituels se trouvent mis en scène dans diverses fêtes, organisées sous le contrôle des anciens par la jeunesse masculine, souvent en grand nombre pour remplir tous les rôles. (Source : eke.org)

    La mascarade souletine est sans doute la plus importante et la mieux conservée de ces traditions ; elle se compose de deux groupes :

    • les rouges richement habillés dont le plus célèbre est le zamalzain (mi- homme mi-cheval) exécutent des danses nécessitant d’être très bons danseurs .
    • les noirs plus paillards, sauvages, dansant d’une manière plus violente parfois même obscène.

    Dans chaque village, les mascarades commencent dès le matin (à 10 heures) avec les «barricades» installées dans le village et se poursuivent dans l'après-midi (à 16 heures) avec la représentation principale sur la place.

    Première représentation  ce dimanche 6 février à Sainte-Engrâce, puis  la mascarade sera jouée dans 15 villages souletins : le 13 février, à Alçay ; le 27 février, à Roquiague ; le 6 mars, à Tardets ; le 12 mars, à Idaux ; le 13 mars, à Licq ; le 20 mars, à Trois-Villes ; le 27 mars, à Ordiarp ; le 3 avril, à Alos ; le 10 avril, à Hoquy ; le 17 avril, à Aussurucq ; le 24 avril, à Barcus ; le 1er mai, à Larrau ; le 8 mai, à Camou-Cihigue et le 15 mai de nouveau à Sainte-Engrâce.

    Enfin, sur le modèle des jeunes de Larrau qui avaient exporté l'an dernier la mascarade dans les rues d'Iruñea, cette année, les jeunes de Sainte-Engrâce ont programmé une mascarade en Gipuzkoa.

    Découvrir la mascarade : la vidéo de l'INA

  • SUR LA PASSERELLE...

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    Depuis un mois, la passerelle d'Holzarte (bien connue des Bascobaroudeurs : photos prises lors d'une rando) donne lieu à un drôle de spectacle. Bien que le passage soit interdit, on peut observer depuis la plateforme située à quelques mètres à peine du gave d'Olhabudi, les ouvriers, suspendus, chargés de la réhabilitation du lieu. Un chantier vertigineux, qui doit permettre de refaire passer le GR10 par la passerelle et le pont d'Olhadubi.

     

    Construite en 1920 par les prolétaires italiens des usines Lombardi Morello de Tardets dans le but de créer un raccourci vers les ateliers de coupe, la «passerelle du vertige» avait déjà été rénovée en 2005 afin de renforcer sa sécurité. Mal en point, son plancher sera cependant emporté quelques années plus tard sur une quinzaine de mètres par la tempête Xynthia.

     

    «Un coup du sort», pour une fermeture «déjà prévue» selon les propos recueillis alors, du Président du syndicat de Soule Jean-Pierre Mirande. C'est finalement début mai que les travaux ont débuté, pour une durée approximative de neuf semaines. Le charme vertigineux du ponceau laisse aujourd'hui place à un chantier impressionnant.

     

    Et pour cause. Soixante-quatre mètres de long pour 1,3 m de large à réhabiliter, le tout suspendu au-dessus du vide, à 150 m du ruisseau. Deux compresseurs, un groupe électrogène et un bungalow ont déjà dû être héliportés, comme le sera d'ailleurs le plancher, pour permettre sa pose.

     

    Globalement, les travaux devraient prendre en charge : la vérification des ancrages des câbles, le nettoyage des abords des piles de la passerelle, le remplacement des câbles porteurs, des traverses bois par des traverses en acier galvanisé (meilleure durabilité), mais aussi des élingues verticales, et enfin, la mise en place d'un garde-corps filet métallique.

     

    Pour lire la suite de l’article : Le Journal du Pays  basque

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