La 24ème édition du FIPA se poursuit. Voici la programmation de ce vendredi : Cliquez !
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La 24ème édition du FIPA se poursuit. Voici la programmation de ce vendredi : Cliquez !
Aujourd'hui, au quatrième jour du Fipa, remise de l'EuroFipa d'honneur à la chaîne de télévision Arte , représenté par Jérôme Clément, président de la chaîne pour sa partie hexagonale. La cérémonie prévue à 20h au casino sera suivie de la projection de Notre poison quotidien , un reportage de Marie-Monique Robin. Entrée dans la limite des places disponibles.
Tout le programme de ce jour : Cliquez!
Ce sont pas moins de 54 projections qui sont prévues ce mercredi 26 janvier ! Pour connaître le programme et les horaires : Cliquez !
+ infos : FIPA 2011
C’est parti ! La 24e édition Festival international de programmes audiovisuels (Fipa) a commencé hier. Voici pour aujourd’hui une sélection réalisée par Le Journal du pays Basque
12h00 : Rafah . Rafah est le portrait intime d'une ville palestinienne au sud de la bande de Gaza, saisi à vif tout au long d'une année de bouleversements (12 septembre 2005-12 septembre 2006). Le destin de cette cité bascule dans la nuit du 12 septembre 2005, quand l'armée israélienne se retire de toutes ses positions de la bande de Gaza. Une nouvelle ère peut commencer. Mais Rafah ne sortira jamais de son chaos. (A la médiathèque.)
13h45 : Planète à vendre. Les crises alimentaire et financière qui ont secoué le monde ont eu un effet méconnu du public. Elles ont provoqué une course pour la mainmise sur les terres cultivables. Ce film tourné sur trois continents, raconte une seule et même histoire : celle du grand Monopoly en cours, et de ses conséquences si rien n'est fait pour protéger les intérêts des petits paysans et des pays en développement. A Gamaritz (Gare du Midi).
15h45 : Crisis . Ce documentaire nous montre la Grèce moderne, à travers le regard d'une jeune Athénienne qui lutte jour après jour pour subsister. Son histoire commence en 2008, lorsque la jeunesse grecque descend dans la rue pour manifester son mécontentement. Une histoire de frustration, de jeunesse sans avenir. A Gamaritz (Gare du Midi). Nouvelle projection le mercredi 26 janvier - 13h30 - Rhune 1 (Le Bellevue).
18h00 : Complexo «Universo Paralelo» . Deux jeunes Portugais se sont aventurés dans «Complexo do alemão», la favela la plus dangereuse de Rio, pendant la plus grande opération de police jamais réalisée par l'Etat de Rio de Janeiro. Ils ont vécu les tensions et se sont souvent endormis et réveillés avec comme bruit de fond, le bruit des coups de feu. A Gamaritz (Gare du Midi). Rediffusion le mercredi 26 janvier - 14h30 - Gamaritz (Gare du Midi).
20h00 : Les Beaux Mecs . Tout commence en 2010 par l'évasion de Tony Roucas dit Tony le Dingue, grand truand condamné à une «longue peine» et de Kenz, 20 ans, issu des mafias des cités. Ils vont devoir faire route ensemble, leur cavale mêlant deux générations, deux méthodes. Ce sera l'occasion pour Tony de confondre ceux qui l'ont fait tomber : flics et truands ; de remonter le fil des trahisons et de parvenir enfin à comprendre comment il a pu perdre la femme de sa vie. Les épisodes 1 et 2 seront projetés au Fipa. Au Théâtre (Casino Municipal). Rediffusion le samedi 29 janvier - 11h00 - Rhune 1 (Le Bellevue).
Le programme et les informations pratiques sur le festival fipa sont consultables sur le site www.fipa.tm.fr ou par téléphone au 05 59 22 65 23.
Boardwalk Empire :Tout commence dans la nuit du 15 au 16 janvier 1920, lorsque le 18e amendement à la Constitution des États-Unis entre en vigueur. Cet amendement instaure l’ère de la Prohibition. À Atlantic City, cette loi est une aubaine pour Nucky Thompson, l’homme qui règne sur la pègre locale. À la fois homme politique et gangster, il va développer son trafic lucratif avec l’aide de Jimmy, un jeune soldat de retour de la Première Guerre mondiale. Le premier épisode de cette série réalisée par Martin Scorsese sera projeté ce soir au Fipa à 19h 45 à la Gare du Midi.
Le Festival international des programmes audiovisuels, également connu sous son acronyme Fipa, est un festival consacré aux œuvres télévisuelles qui se tient chaque année depuis 1987 à Biarritz. Ce festival est le rendez-vous des passionnés du petit écran sur grand écran, en quête d’images et d’échanges sur le meilleur de la télévision internationale ; une occasion unique de découvrir des réalisations originales car beaucoup de programmes projetés à Biarritz ne passeront jamais sur les chaines de télé françaises.
C'est lundi 24 janvier que commence le FIPA 2011 : il s’ouvrira à 19h 45, à la gare du Midi, avec la présentation des jurés, suivie de la projection d'un épisode de la série sur la prohibition réalisée par Martin Scorsese « Boardwalk Empire ».
Pour cette 24ème édition ce sont pas moins de 70 programmes qui sont proposés en compétition officielle dans les catégories Fictions, Séries et Feuilletons, Documentaires de Création et Essais, Grands reportages et Faits de société, Musique et Spectacles, soumis au regard de cinq jurys internationaux de professionnels, sans oublier les très nombreux programmes hors compétition.
Prix de la séance : 5 euros, tarif réduit pour chômeurs et étudiants. Le pass permanent est à 25 euros hors soirées d’ouverture et de clôture. Pour découvrir le programme, les horaires de projection et + : Cliquez !
Si vous avez raté l’intéressant reportage hier soir sur France 2, vous pouvez bénéficier d’une petite séance de rattrapage grâce au site Za-gay le premier site de rencontre gay pour les ados et jeunes adultes. N’hésitez pas à visionner ce documentaire qui est passé en prime time sur la chaîne publique, ce qui en soit constitue déjà un point positif. Les témoignages face à la caméra de ces ados sont particulièrement instructifs sur l’état réel de notre société .
Voir le reportage : CLIQUEZ !
Alors que vient de se dérouler hier la 14ème édition d’Existrans, marche qui rassemble les Trans et leurs ami(e)s, ce soir, France 3 inaugure une nouvelle collection documentaire intitulée Déshabillez-nous (« 13 films qui nous parlent de nous-mêmes en plongeant dans notre intimité ») avec Ces messieurs dames, signé Thierry Demaizière et Alban Teurial, produit par Eléphant Doc avec la participation de France Télévision. Durée : 55 mn.
Voici le sujet :
Ce sont des hommes, hétérosexuels, mariés et pour la plupart, pères de famille qui éprouvent depuis la plus petite enfance le besoin de s’habiller en femme.
Ils naviguent d’un genre à l’autre, ce sont des transgenres. Loin de l’allure provocante des travestis, ils préfèrent emprunter le style classique de femmes respectables. Pendant de longues années de souffrance et de solitude, ils vivent leur transgression de façon clandestine jusqu’au jour où ils osent enfin sortir du "placard".
Ils se réunissent alors entre "copines" pour faire du shopping ou dîner. Leurs femmes sont souvent leurs complices et vont jusqu’à les conseiller dans le choix de leurs tenues.
On suit ainsi le quotidien de cinq d'entre eux. "Je suis né garçon et dans ma tête, je me préfère femme" dit Claude, alias Loan, 54 ans. Pas facile dans ces conditions de réussir sa vie de couple. Seul Francis / Florence, 48 ans, électricien, marié, 3 enfants, a réussi à faire accepter à son épouse sa double nature.
L’objectif de ce documentaire est de pénétrer ce milieu très méconnu et d’interroger l’histoire de ces "messieurs - dames" pour comprendre cette nécessité presque vitale de se vivre en femme. Les transgenres filmés -soit dans leurs tenues d’homme, soit dans leurs robes de femme-, sont peut-être les mieux placés pour sonder le mystère qui différencie le masculin du féminin.
Les Garçons du Lido, de Louis Dupont
sort en DVD chez Epicentre Films, 19,90 euros
Voici le synopsis de ce film québécois sorti en 2008 et encore inédit chez nous :
" En cet été 1966, alors qu’elle est occupée à profiter de la belle saison, Élise, une jeune fille de 12 ans, sent pourtant bien qu’un drame se prépare au sein de sa famille. Il n’y a pour l’instant rien de bien concret qui puisse l’en avertir mais, quand même, une impression, un malaise s’installe. Qui se confirme le jour où elle surprend une étrange conversation téléphonique dans laquelle s’engage son père. Sans vraiment comprendre la nature de cet échange, Élise a alors le réflexe de passer le combiné à sa mère. Qui écoute. Ce que cette dernière apprend alors est si intolérable à ses yeux ( la découverte de l’homosexualité de son mari) qu’elle ne peut faire autrement que partir. Et laisse ses enfants derrière, le temps de réorganiser sa vie."
« Avant cet été, je croyais que tout le monde était heureux », affirme l'un des enfants. "Un film d'été, doux et sincère" selon le critique Martin Gignac
La cinéaste (Léa Pool) réalise une jolie reconstitution de l’époque en misant notamment sur la musique. On y chante C'est le temps des vacances et Bang Ban (extrait ci-dessous), de Françoise Hardy à Claude Léveillée, sans oublier la guerre du Vietnam et les Beatles. Nostalgie …
Ce documentaire sera visible ce soir sur France 4 à 20h 35. Jeanne Broyon y parle d’homophobie, d’homoparentalité, de la vie des lesbiennes d’aujourd’hui, avec humour et dérision, légèreté et finesse. Ce documentaire est d'ores et déjà visible sur le site de la chaîne:
Pour le découvrir, tout de suite, cliquez Là !
« Le Magazine du Pays Basque (magazine produit par france3 Euskal Herri) s'intéresse à la mémoire de la guerre civile espagnole, et à sa transmission 74 ans après. Une émission à regarder, le dimanche 25 avril, à 19 h 10 sur France 3.
Après trois années de guerre civile entre 1936 et 1939, opposant forces républicaines et insurgés nationalistes, l'Etat espagnol se retrouve sous le joug franquiste jusqu'en 1977. Près d'un million de morts et 500 000 réfugiés, telles sont les estimations approximatives données par quelques historiens.
Il y a quelques jours, une nouvelle fosse a pu être mise à jour en Navarre grâce au travail du centre d'études Aranzadi (centre d'études basé à Donostia) et à la municipalité du petit village d'Aibar près d'Iruñea qui a facilité les investigations.
Depuis 1936, les familles de quatre fusillés n'avaient plus aucune nouvelle de certains de leurs proches. Sans sépultures depuis pratiquement 75 ans, ses familles se trouvaient dans l'incapacité de faire leur deuil. Il y a peu, elles ont retrouvé les restes de leur grand-père ou de leur père.
L'équipe de reportage a voulu les entendre «au nom d'une mémoire enfouie qui commence à rejaillir». Elle a également rencontré un ancien combattant républicain, installé aujourd'hui à Bayonne, et une romancière qui travaille sur cette histoire.
A travers leur histoire familiale, tous retrouvent l'histoire de la guerre civile d'Espagne, une guerre qui reste encore actuellement fortement ancrée dans les mémoires… »
Source : Le Journal du Pays basque