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  • SEA, SEX AND TEST... SUR UN AIR DE GAINSBOURG

    C’ est le slogan de la seconde campagne régionale de prévention et d'incitation au dépistage du VIH (sida), des hépatites B et C et de la syphilis  que vient de lancer le COREVIH d'Aquitaine, relayée au Pays basque par le centre hospitalier de Bayonne et son centre de dépistage, mais aussi la CPAM, Aides Pays basque - Landes, l'Arsa, le réseau santé VIH Côte basque.

    Selon  le  président du Corevih, 4 000 à 5 000 personnes vivent en Aquitaine avec le virus. 1/3 d'entre elles ne le savent pas. En 2009, 170 nouveaux cas de séropositivité ont été détectés et parmi ceux-là, 40 cas de sida déclaré. 60 % des personnes nouvellement diagnostiquées séropositives vivent en Gironde, 16 % au Pays basque ou en Béarn, 11 % en Dordogne, 7 % dans les Landes et 6 % en Lot-et-Garonne.

     

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  • COMMUNIQUE DE BASCO-SPHERE, AIDES ET GEHITU POUR LE 17 MAI

     

    journée mondiale contre homophobie, basco-sphère, aides, gehitu

     

    COMMUNIQUE DE BASCO-SPHERE, AIDES et GEHITU

     

    Le 17 mai 1992, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) retirait l’homosexualité de la liste des maladies mentales. Depuis 2005, le 17 mai est devenu la journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie.  

    Et pourtant beaucoup reste à faire : 80 pays n’ont-ils pas encore des lois criminalisant l'homosexualité ? En Ouganda il existe même une proposition pour l'application de la peine de mort aux personnes homosexuelles et les viols en série des femmes lesbiennes et bisexuelles sont un fait courant

    Dans de nombreuses régions du monde l’homophobie est là, violente. 

    Mais l’homophobie c’est aussi chez nous . Le rapport 2011 de l’association SOS homophobie fait un constat alarmant ; insultes, menaces, agressions verbales ; mais aussi physiques : ce sont 4 lesbiennes, gays, bi ou trans qui sont  chaque jour frappés en France. Force est de constater que pour quelques uns, l’homophobie est devenue un passe-droit banalisé, n’hésitant pas à porter un préjudice honteux à l’intégrité physique, sanitaire et morale des personnes.

    L’homophobie peut aussi se cacher au cœur même de la famille. La semaine passée, le tribunal correctionnel de Dax (Landes) a condamné pour homophobie  un homme qui avait sorti un révolver et proféré des menaces à l’encontre de son beau-fils : « Je vais le tuer, ce sale pédé qui a le sida ». 

    Si la victime a pu obtenir justice, grâce au soutien combiné du Réseau d’Assistance au Victimes d’Agression et de Discrimination et de l’association AIDES, nombreux sont celles et ceux qui subissent humiliations, exclusions et violences sans oser parler. L’homophobie est un mal qui ruine ainsi la vie des victimes, car banalisée, elle les oblige à taire leur souffrance.

    Alors comment lutter contre l’homophobie ?

    Il faut bien sûr appliquer la loi qui condamne, mais également continuer, au quotidien, l’action en faveur du respect des genres et des sexualités et pour la reconnaissance de l’égalité des droits pour tous.

    En France,  même si la situation des  communautés LGBT a progressé en terme d’acceptation, de reconnaissance, il n’ y a pas d’immunité acquise en terme d’égalité et de droit ; d’autant plus lorsque l’homophobie est institutionnelle ; l’Etat refuse ainsi toujours l’ouverture du mariage à tous et la reconnaissance des familles homoparentales.

    En Espagne, malgré les avancées légales, la transphobie rend toujours difficile l'accès au marché du travail des personnes transsexuelles. Les femmes lesbiennes et bisexuelles rencontrent  toujours des difficultés pour accéder à la fécondation assistée et le Sida reste toujours un élément de discrimination au sein même du collectif homosexuel.

    Le combat contre l’homophobie et la transphobie doit impérativement être porté sur la place publique et sera incontestablement l’un des enjeux des élections de 2012.

    C’est ce combat qui nous conduit à vous inviter à assister à la projection du film « 108 Cuchillo de palo » ce mardi 17 mai à 20h15 au cinéma le Royal à Biarritz ; projection suivie d’une rencontre avec SOS homophobie et l’ARDHIS.

    C’est ce combat qui nous conduit à vous inviter à participer au rassemblement lancé par Gehitu et Errespetuz à Donostia  le 17 mai 19:30 au Boulevard de Donostia, sous le slogan: "Gure giza eskubideak hemen eta edonon" (Ici et partout dans tout le monde, le respect des droits de l'homme pour nous aussi)

    C’est encore ce combat  qui amène les associations AIDES, Basco-sphère/ Euskal esfera et Gehitu, à faire un appel à toutes et à tous, homos, hétéros, bi, trans pour participer à la marche des fiertés de Biarritz le 18 juin, et à  l’Orgullo LGTB de Saint Sébastien.

     

  • AIDES AQUITAINE NOUS PROPOSE X.Y.SEX, LA SEMAINE DES SEXUALITES

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    C’est la première édition d'un évènement proposé par l'association AIDES, avec la participation de nombreux partenaires. Du 11 au 19 février, dans différents lieux de Bordeaux cet évènement vous propose de voir, discuter, écouter, toucher, rire... pour faire passer le message de prévention de manière la plus festive ! La santé sexuelle n'aura jamais été aussi sexy !

    Découvrir le programme !

     

  • LU DANS LA PRESSE, A PROPOS DE L'ASSOCIATION AIDES.

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    Le quotidien « Le Parisien » a publié hier une enquête  très critique sur la gestion de l’association Aides. Sur deux pages sont contestés les salaires ou avantages dont bénéficieraient les dirigeants,  des collectes de rue décrites comme coûteuses et est mis en avant le malaise qui existerait parmi les salariés. Un article  de Sud Ouest paru ce jour donne  la parole  à Mickaël Douanier, ex-salarié de Aides à Dax. 

    Dans un communiqué, l’association Aides s’est  déclarée choquée et abasourdie par cette publication : « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose," disait Francis Bacon. Aujourd'hui, c'est toute la crédibilité d'une association historique et intègre qui est foulée du pied. C'est une insulte faite au travail considérable que mène Aides depuis plus de 25 ans. » A suivre. 

  • SIDA: DONNER PLUS POUR SOIGNER PLUS !

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    Act Up-Paris, AIDES, Coalition PLUS, Sidaction, Solidarité Sida

    communiquent :

    Aujourd’hui, alors que s’ouvre à New-York le sommet de l’ONU pour la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement, les associations de lutte contre le sida ont manifesté ensemble à l’Assemblée Nationale pour rappeler que la France peut et doit tenir ses promesses financières contre cette pandémie meurtrière.

    Les militants se sont couchés devant l’Assemblée pour symboliser les 25 millions de morts qu’a faits le sida depuis le début de la pandémie. Ils ont étendu une banderole flanquée du slogan « sida : le compte n’y est pas », brandi des pancartes « pas d’argent, pas de traitement », et accroché à l’Assemblée une gélule de 10 mètres de long marquée du slogan « stop sida ».

    Nicolas Sarkozy présentera aujourd’hui à New York son action en faveur des pays pauvres et de la fracture mondiale. Il va en particulier annoncer le montant de la contribution française au Fonds Mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, principal système d’acheminement de l’aide anti-sida des pays riches vers les pays pauvres. Afin de continuer les progrès accomplis ces 10 dernières années et de tenir leurs engagements internationaux, les pays riches sont censés doubler leur contribution au Fonds mondial. Pour la France, cela implique de passer de 900 millions à 1,8 milliard d’euros, sur 3 ans (soit 600 millions/an).

    Le compte n’y est pasSelon nos informations, loin du doublement nécessaire, Nicolas Sarkozy va annoncer une augmentation de 30%, à 1,2 milliard sur 3 ans (400 millions/an). Cela n’est pas suffisant. Selon les propres chiffres du Fonds mondial, la différence avec un doublement se compte en millions de vies : 3 millions de malades du sida laissés sans soins (qu’on pourrait pourtant traiter) et 3 millions d’orphelins du sida qui ne seront pas pris en charge.

    Malgré la crise, la France conserve les moyens de tenir ses engagements financiers. Si la France taxait ses titres boursiers nationaux comme le fait déjà la Grande-Bretagne, cela lui rapporterait près de 5 milliards d’euros par an. Et à titre de comparaison, les 600 millions annuels demandés pèsent moins de 10% des profits d’une seule entreprise comme Sanofi ou d’une banque comme BNP-Paribas.

    Un monde sans sida est possible. Des chercheurs ont démontré qu’en permettant l’accès aux trithérapies à tous les séropositifs, on peut mettre un terme à cette pandémie. Mais plus on attend, plus il y aura de personnes à traiter, et plus cela coûtera cher !

    Economiquement, investir dès aujourd’hui à la hauteur de l’enjeu s’impose donc comme la meilleure stratégie à long terme.

    Par cette action à l’Assemblée Nationale, les militants anti-sida appellent la Présidence de la République et le Parlement à inscrire, dans le budget 2011 de la France, le doublement de la contribution française au Fonds mondial.

     

    Source : Act Up

  • AIDES SUD OUEST: 6ème BABY LOVE OCEAN TOUR 2010

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     COMMUNIQUE 

    Depuis 5 ans, des militants de AIDES en région Sud Ouest, en partenariat avec des associations identitaires, mènent la campagne estivale de prévention et des actions de réduction des risques sexuels en direction des gays, sur les plages et dans les établissements commerciaux du littoral atlantique. 

    Cette campagne privilégie la rencontre et les échanges avec les hommes  qui ont des relations sexuelles avec des hommes et porte chaque année sur des thématiques différentes. Cette campagne permet de collecter des données sur les pratiques de prévention et réduction des risques sexuels, sur la connaissance des modes de transmission, des moyens de protection et des modalités de dépistage.  

    A travers cette action, les militants recueillent également des données qualitatives sur les thématiques choisies : 

    - En 2005, la connaissance du traitement post-exposition et du préservatif féminin ;
    - en 2006, les relations que les gays entretiennent avec leurs médecins ou les professionnels de santé ;
    - en 2007 la dicibilité du statut sérologique entre partenaires ;
    - en 2008, la perception du statut sérologique dans la communauté gay et les discriminations intra-communautaire ;
    - en 2009, les nouvelles approches de prévention et notamment le dépistage communautaire du VIH à résultat rapide ou l’enquête sur l’utilisation du traitement comme outil de prévention (PrEP).
     

    Pour l’édition 2010, à partir d’une accroche décalée et amusante,  « Chéri, qu’as-tu fait du virus ? », nous inviterons les personnes à des discussions libres sur la place que prend le virus du VIH dans leur vie. Séropositifs, séronégatifs, ou sérointerrogatifs, tous les HSH ont quelque chose à dire sur le sujet ! C’est ce que nous chercherons à entendre en venant à leur rencontre.

    Nous communiquerons également sur les nouvelles approches de prévention, les expérimentations et la réflexion dans lesquelles AIDES s’implique (Projet Com’Test, projet de dépistage communautaire du VIH à résultat rapide ; enquête PrEP), notamment en lien avec la recherche bio-médicale.

    PROGRAMME

    CHARENTE MARITIME

    Vendredi 16/07
    Après-midi : plage du Marouillet, aire de repos du Marouillet, RN 137, YVES

    Samedi 17/07
    Après-midi : Plage des Saumonards, ILE D’OLERON
    14h-19h : POOL PARADISE PARTY, espace Le Bilboquet, EPARGNES

    Dimanche 18/07
    Après-midi : plage de la Bouverie, LA PALMYRE

    GIRONDE
     

    Lundi 19/07
    Après-midi : plage du Porge, LE PORGE
    18h30 à 20h30 : COM’TEST, dépistage communautaire à AIDES Gironde, 76 rue Mandron BORDEAUX

    Mardi 20/07
    Après-midi : plage du Porge, LE PORGE

    Mercredi 21/07
    Après-midi : plage de la Lagune, LE PYLA
    19h00-21h00 : ApéroMecs au centre LGBT LE GIROFARD,
    34 rue Bouquière BORDEAUX

    Jeudi 22/07
    Après-midi : plage de la Lagune, LE PYLA
    18h30 à 20h30 : COM’TEST, dépistage communautaire à AIDES Gironde? 76 rue Mandron BORDEAUX

    LANDES & PAYS BASQUE

    Vendredi 23/07
    Après-midi : plage des casernes, SEIGNOSSE (40)

    Samedi 24/07
    Après-midi : plage du Métro, TARNOS (40)

    Dimanche  25/07
    Après-midi : plage des casernes, SEIGNOSSE (40)