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CINEMA - Page 4

  • BAYONNE: RENCONTRES SUR LES DOCKS

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    Du 6 au 9 avril, les salles de l’Atalante et  de l’Autre Cinéma nous proposent une nouvelle fois des «  Rencontres sur les docks » avec  concerts,  avant-premières, programmation musicale, exposition, séances à destination du jeune public, sans oublier des rencontres avec des réalisateurs.

     

    Voici une sélection réalisée par le Journal du Pays Basque:

     

    Mercredi 6 avril

    14.00 : « Le mulot menteur », programme de quatre courts-métrages d'animation suivi d’un atelier pour enfants.

    18.00 : Projection de « Nous, princesses de Clèves », et rencontre avec Régis Sauder.

    20.00 : Repas-concert Eskelina.

    21.00 : Avant-première de « The Future » et rencontre avec Xabi Molia.


    Jeudi 7 avril

    18.00 : Carte blanche à Xabi Molia pour Old Joy.

    20.45 : Avant-première de « Meek’s Cutoff »avec Xabi Molia.

    20.45 : Ciném’abécédaire avec Petit à petit et rencontre avec André Minvielle.


    Vendredi 8 avril

    14.15 : Programme de courts-métrages de l’ECLA en présence des réalisateurs Mathieu Busson et Xabi Molia.

    16.00 : Carte blanche à Xabi Molia pour Gerry.

    18.00 : « 93, La belle rebelle », suivi d’une rencontre avec Jean-Pierre Thorn.

    21.00 : Avant-première d’ »Une séparation », et rencontre avec André Minvielle.


    Samedi 9 avril

    16.30 : Au-delà de la danse, le baile flamenco, et rencontre avec Christine Diger.

    18.00 : Avant-première de « Women without men », et rencontre avec Modjeh Famili, spécialiste du cinéma iranien.

    21.00 : « Où va la nuit ? », précédé du concert de Bostgehio à 20 heures.

     

    Pour découvrir  tout le programme : cliquez !

  • BAYONNE: DEMAIN A L'ATALANTE, " LOS CAMINOS DE LA MEMORIA"

    Dans le cadre du 80ème anniversaire de la deuxième république espagnole, l’Atalante  propose ce vendredi 25 mars une soirée avec à

    19h 30: présentation de l’exposition « No pasaran » de Francis Blaise (Une série de (20 ) portraits de combattants de l'Espagne républicaine en guise de mémoire)

    20h 30: le documentaire « Los caminos de la memoria », suivi d’une rencontre avec l’historien Angel Madragia de la Campa.

     

  • BAYONNE, LUNDI 21 MARS 20H 30: CINE-CONCERT A L'ATALANTE

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    The Lodger ( les cheveux d’or ) est considéré comme  le  premier vrai film d’Hitchcock. Lundi soir ce film muet  sera mis en musique par Christian Paboeuf (Haut-bois, flûte à bec basse, vibraphone midi), en partenariat avec l’ADRC et Cinémémoire.

    Synopsis : « À Londres, l'« Avenger », un tueur en série assassine des jeunes femmes blondes, dans le style de Jack l'éventreur. Un homme à l'air mystérieux se présente pour louer une chambre chez Mr et Mrs Bunting. Daisy, leur fille blonde comme les victimes du tueur, s'éprend de l'étrange locataire. Joe, le petit ami de Daisy, est le détective chargé de l'affaire. Il devient jaloux du locataire et le soupçonne d'être l'Avenger. »

    Tarif adhérents : 5 E / Plein tarif: 7 E


  • DECOUVREZ LE FESTIVAL CINEMASCIENCE !

    Le CNRS (Centre national de la recherche scientifique) nous propose le festival Cinémascience ;  du 2 au 18 mars,  10 projections  prévues dans les Pyrénées Atlantiques, comme autant de tentatives de vulgariser la science à travers le cinéma.  Chaque projection sera suivie d'un échange entre le public et les chercheurs sur une thématique scientifique abordée dans le film et plus généralement sur le métier de chercheur et l'état de la recherche actuelle. Le fil conducteur de cette programmation est «la représentation du futur».


    AU PROGRAMME AU PAYS BASQUE ( source le J.P.B)

     

    Jeudi 3 mars

    20.30 : Woody et les robots (USA - 1973). Science-fiction de Woody Allen. La projection sera suivie d'un débat sur «les robots et les gadgets» animé par Jean-Marc Salotti, professeur des universités en informatique à l'Ecole nationale supérieure de cognitique (ENSC) et spécialiste de l'apprentissage des robots. A Saint-Jean-Pied-de-Port, au cinéma le Vauban.

    Vendredi 4 mars

    20.30 : L'armée des douze singes (USA - 1996). Science-fiction de Terry Gilliam avec Bruce Willis et Brad Pitt. La projection sera suivie d'un débat sur «le terrorisme». A Hasparren, au cinéma Haritz Barne.

    Jeudi 10 mars

    20.30 : Fahrenheit 451 (France, G.B. - 1966). Fantastique de François Truffaut. La projection sera suivie d'un débat sur «la liberté d'expression». A Mauléon, au cinéma Maule Baïtha.

    Vendredi 18 mars

    20.30 : Playtime (France - 1967). Comédie de Jacques Tati. La projection sera suivie d'un débat sur «Jacques Tati et la ville» animée par Olivier Ratouis, géographe, spécialiste de la ville et de l'urbanisme. A Saint-Palais, au cinéma le Saint Louis.

    Pour connaître tout le programme sur les Pyrénées Atlantiques : Cliquez ! 

     

  • BIARRITZ : AVANT-PREMIERE DE "WE WANT SEX EQUALITY"

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    Basco-sphère / Euskal esfera, l'association LGBT du Pays basque nous invite à participer  mardi 8 mars à 21h   au cinéma le Royal de Biarritz à l’avant première du  film « We want sex (equality) », projection suivie d’un  débat animé par le Collectif féministe contre les violences sexistes.

    Le film raconte l’histoire véridique d’un soulèvement de 187 couturières de housses de sièges des usines Ford survenu à Dagenham, banlieue Est de Londres. Payées 15% de moins que des ouvriers non qualifiés alors que leur travail exige de réelles compétences, ces femmes ont décidé de faire grève. Nous sommes alors en Juin 1968 et c’est une première dans l’histoire de l’Angleterre…


    Pour beaucoup les années 1960 reflètent une décennie marquée par l’émancipation de la femme : Elle fait des études, elle travaille, elle s’habille comme elle l’entend (naissance de la mini-jupe). Bref pour toutes les femmes, les sixties est un synonyme de révolution.  Mais « Le développement d’une société se mesure aux progrès accomplis dans l’émancipation des femmes » ; c’est ce qu’un syndicaliste  rétorque dans une scène à ses collègues qui prônent la politique des petits pas (en vertu de quoi on s’occupera des femmes plus tard). C’est dans ces instants que l’on ressent qu’il n’était pas loin le temps où les maris interdisaient à leur femme de gagner leur vie…

     

    « Un film féministe, drôle , émouvant » écrit le site yagg. A ne pas manquer !


     

  • EN CLÔTURE DES JOURNEES GAIES ET LESBIENNES "PARAGRAPH 175"

    Ce soir, en clôture, les journées gaies et lesbiennes de Pau proposent « Paragraph 175 » de Rop Epstein et Jeffrey Friedmann, 1999, 81 min, vostfr. Projection en présence de Mickaël Bertrand, historien et auteur de "La Déportation pour motif d'homosexualité en France" (2011).

    On appelle paragraphe 175 l’article 175 du Code pénal allemand qui condamnait l'homosexualité masculine, de 1871 à 1994. Le film documentaire « Paragraph 175 » lève le voile sur les histoires occultées de milliers d'homosexuels allemands internés dans les camps de concentration de l'Allemagne nazie. Des documents originaux uniques alternent avec les témoignages de survivants, évoquant avec amertume et ironie les traques, les persécutions et les crimes subis.

    Entre 1933 et 1945, selon les archives des Nazis 100.000 hommes furent arrêtés pour homosexualité. Plus de 10.000 d'entre eux furent envoyés dans des camps de concentration. Le taux de mortalité des homosexuels prisonniers dans les camps est estimé à soixante pour cent. À peine 4000 d'entre eux survécurent. "Peu" ont été envoyés dans les chambres de la mort. Esclaves des camps, victimes de tortures physiques, castrés ou cobayes pour des expérimentations médicales, ils devaient tous arborer le triangle rose. Le fait que les homosexuels furent emprisonnés dans les camps de concentration est relativement connu aujourd'hui.

     En revanche on ignore généralement que beaucoup d'entre eux ont continué à subir des persécutions dans l'Allemagne de l'après-guerre.  Le Paragraphe 175 n'a été aboli en Allemagne de l'Ouest qu'en 1969, et nombre d'homosexuels emprisonnés pendant la guerre sont restés en détention après la libération. Ils n'eurent pas droit à des réparations de la part du gouvernement allemand et tout le temps qu'ils passèrent dans des camps fut déduit de leur retraite. Dans les années 50 et 60, le nombre de condamnations pour homosexualité en RFA ont été aussi importantes qu'à l'époque des Nazis.

    Aucune mention de ces crimes ne fut faite au procès de Nuremberg en 1946. Le travail de recherche, les monuments aux morts et les musées passent sous silence le sort des déportés homosexuels dans les camps de concentration Nazis. Dans les années 90, des chercheurs ont commencé à se documenter sur les histoires personnelles de ces hommes qui portaient le triangle rose. Le premier organisme à prendre en compte la persécution des homosexuels par les Nazis fut le Musée pour la Commémoration de l'Holocauste à Washington; il encouragea des survivants à sortir de leur silence. En 1995, huit survivants ont publié une déclaration collective pour réclamer la reconnaissance de leur persécution.

    Nous vous encourageons vivement à assister à cette projection. Mais pour celles et ceux qui habitent loin de Pau , voici le  début film  qui est proposé sur Dailymotion en quatre parties :


    PARAGRAPHE 175 1/4



  • BIARRITZ: "TRUE GRIT" DES FRERES COEN EN AVANT PREMIERE

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    Ce soir à 21 heures, le cinéma Le Royal de Biarritz propose en avant-première le dernier film des frères Coen, « True Grit », un western avec Jeff Bridges, Matt Damon, Josh Brolin. True Grit est un remake. Le roman éponyme de Charles Portis, a en effet déjà été adapté au cinéma sous le titre de « cent dollars pour un shérif » en 1969 par Henry Hathaway avec John Wayne dans le rôle du marshal  qui accepte d’aider la jeune Mattie Ross à se venger de l’assassin de son père.  Le film des frères Coen  qui a connu un joli succès public aux Etats Unis est en lice pour l’Oscar du meilleur film.

    Chez nous, la critique est enthousiaste. Ainsi   Danièle Heymann de l’hebdomadaire Marianne » écrit :  « Les frères Coen ont (...) accompli et réussi leur ruée vers l'Ouest. Mais en mitonnant le mythe à leur gré, à leur aise: un grain de folie, une grosse cuillerée d'humour, un zeste de cruauté, le tout nappé d'un goûteux désenchantement. »

    Pour accompagner la sortie du western des frères Coen, un "Dime Novel" à l’ancienne  ( un roman à trois sous en anglais)  est proposé aux futurs spectateurs de "True Grit". Intitulé "Une sale affaire", il revisite l'une des scènes-clés du film tout en apportant un éclairage sur le personnage de Jeff Bridges. A  à télécharger gratuitement  en cliquant ici!


  • PAU: "LA BOCCA DEL LUPO" A L'AFFICHE DU FESTIVAL GAY ET LESBIEN

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    Les journées gaies et lesbiennes de pau nous proposent demain dimanche 20 février à 17h 15 au cinéma  Le Melies 6 Rue Bargoin à  Pau (08 92 68 68 87). « La Bocca del lupo »

     L’Histoire : Enzo "le Roc" et Mary "la garce" se sont rencontrés il y a vingt ans et cohabitent dans un logis miséreux, enfin unis après des décennies de galère et une trop longue séparation.  Enzo et sa belle gueule de Sicilien aux faux airs de Vanzetti, la cinquantaine.Tout gamin il faisait du marché noir pour son père dans les ruelles de Gênes. Condamné à la délinquance, sous les verrous bien souvent, on l'a pris un jour à Zanzibar pour un tueur à gages. Il en prendra pour vingt-sept ans...

     C'est en tôle qu'il croise Mary. Un transsexuel réprimé par sa famille, emprisonné pour abus d'héroïne, épave, désespéré. Ils se voient dans l'enceinte carcérale, et c'est le coup de foudre. Ils se retrouvent à la promenade, communiquent d'une cellule à l'autre avec un alphabet muet. Enzo "la" protège, ils rêvent d'un avenir commun. 

    La Gueule du loup nous charrie le long des docks, des chantiers, près des grottes, devant les night-clubs, dans les ruelles à voûtes, les coupe-gorge, les impasses du Sottoripa où sèche le linge et tapinent les prostituées. C'est Gênes, la nuit déserte, la foule, un rat qui rôde, le décor d'un film noir. C'est aussi une scène baroque, dans un bar, entre le crépuscule et l'aurore. 

    La Gueule du Loup, c'est une voix rocailleuse et racée qui alterne les mots d'amour d'Enzo, ceux de Mary, et des bribes d'un livre publié en 1892 par un certain Gaspare Invrea, La Bocca del Lupo. Horaires des films du festival : Cliquez !

  • PAU:DU 18 AU 22 FEVIER, LES 8èmes JOURNEES GAIES & LESBIENNES

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    COMMUNIQUE d'IDEM PAU.

    Treize années déjà depuis la création osée des Journées Gaies et Lesbiennes de Pau en janvier 1998 ! Cette édition 2011 présentera huit longs métrages où se mêlent inédits et films du répertoire, dans un même souci de qualité artistique, autant de prétextes à réfléchir sur la confrontation, la marginalisation, la société et ses soubresauts, et la nature des rapports humains lorsque les barrières sociales volent en éclat. 

    En soirée d’ouverture, nous nous interrogerons sur la société et ses manques qui poussent à la descente aux enfers des êtres à la dérive, jusqu’à l’insoutenable violence: « Bas-Fonds » sera suivi d’un débat avec l’actrice principale Valérie Nataf et la distributrice du film, Laurence Bierme. 

    Autres bas-fonds à Gênes avec « La Gueule du Loup » : ici la relation amoureuse est rédemption et secours. Autre tissu social pour « Le premier qui l’a dit » dont la légèreté apparente ne doit pas masquer la difficulté du coming-out ni les enjeux financiers des amours bourgeoises. 

    Puis des reprises attendues: « Torch Song Trilogy », tendre et poignant, drôle et féroce, si précurseur et indémodable; et « When Night is falling », dont l’esthétique irréprochable magnifie la rencontre de deux femmes, rencontre qui bouscule, fascine, apprivoise et révèle. 

    On verra ensuite « Mort à Venise » comme on visite le Louvre, comme on se place devant un Turner, un Goya ou un Canaletto, en se laissant humblement pénétrer de l’énigmatique et flamboyante grandeur d’un passé à jamais révolu, sur l’envoûtante musique de Mahler, âme du film. 

    Autour de la dialectique du maître et de l'esclave, « The Servant » est lui un huis clos étouffant, qui a terriblement marqué la génération de 1968 en révolte et mettait en scène tout ce qu’elle voulait abolir: rapports de classe, frustration sexuelle et hypocrisie sociale.

    En clôture enfin, reprise de « Paragraphe 175 » avec Mickaël Bertrand, historien et auteur d’un ouvrage sur la déportation dans notre pays pour motif d’homosexualité.

    C’est pour vous parler de liberté, de respect et de tolérance, c’est pour chasser les préjugés et faire tomber les bastions que nous avons convié nos invités. Sans eux, sans le cinéma Le Méliès et son équipe, sans le soutien indéfectible de nos fidèles partenaires, ce festival ne pourrait avoir lieu. Nous les remercions chaleureusement.                                                                            

     HORAIRES : CLIQUEZ !

     

  • BAYONNE: AMNESTY INTERNATIONAL PRESENTE "WOMEN ARE HEROES"

    Dans le cadre de la   campagne mondiale   «Exigeons la dignité», le groupe d'Amnesty International  Bayonne présentera ce soir à 20h30, à l'Autre Cinéma, le film de JR « Women are heroes. »

    En 2001, à Dakar, Amnesty International avait  décidé d'élargir son champ d'action. Outre les violations politiques, l'organisation prend désormais en compte les violations économiques, sociales et culturelles. La campagne mondiale « Exigeons la dignité  » s’inscrit dans cette perspective.

     Le film projeté ce soir à Bayonne veut « plonger le spectateur au cœur de vies de femmes exceptionnelles. Parce qu'elles sont très souvent les premières victimes en temps de guerre et quasiment abandonnées à leur sort en temps de paix,   JR rend hommage à ces femmes qui malgré toutes les embûches de la vie gardent le sourire, la force de se battre et l'espoir d'une vie meilleure. Des favelas de Rio aux bidonvilles kenyans, en passant par les rues d'Inde et du Cambodge, un autre regard se pose sur leurs combats et leurs attentes.  »

     Women Are Heroes nous invite donc  à voyager et découvrir ces femmes qui, jour après jour et chacune à sa façon, se battent pour faire de ce monde un monde meilleur. 

  • GIPUZKOA: EHGAM NOUS PROPOSE LE FESTIVAL GLAM ZINEMALDIA

    Le 5ème festival de films Les.Gay.Trans organisé par EHGAM ( Mouvement de libération lesbien et gay du Pays Basque) se déroulera les samedi et dimanche 12 et 13/2 à 19 h au centre culturel de la ville de Errenteria et le  lundi 14/2 à 19h au centre culturel Koldo Mitxelena à San Sebastian. Les films seront projetés dans leur langue originale et sous-titrés en castillan (ci-dessous bande annonce de « To comfort to you » un film sur les  relations complexes entre une mère et sa fille séropositive et lesbienne).  Pour de plus amples renseignements voir le site de EHGAM : Cliquez !

  • A L'AFFICHE : TOUT VA BIEN, THE KIDS ARE ALL RIGHT !

    Tout va bien ! The kids are all right de l'Américaine Lisa Cholodenko a remporté dimanche soir le Golden Globe de la meilleure comédie. L’actrice Annette Bening a aussi obtenu pour son rôle dans ce film, le Golden Globe de la meilleure actrice dans une comédie. Avec Julianne Moore elle  forme un couple de lesbiennes qui ont eu deux enfants conçus par insémination artificielle. Or, quand ces derniers, devenus adolescents, vont vouloir rencontrer l’auteur du don de sperme,  c’est une jolie pagaille qui s’installe  dans toute la petite famille…

     Succès de l'année du cinéma indépendant aux Etats-Unis, ce film  n’a rencontré que peu d’écho chez nous. Espérons que Le Royal ou l’Atalante lui donnent une nouvelle chance !

  • BAYONNE: "LES EMOTIFS ANONYMES" EN AVANT PREMIERE A L'ATALANTE

     

    Nous ne l’avons pas encore vu. Mais à découvrir ce soir, en avant première,à partir de 19h à l’Atalante :  « Les émotifs anonymes » une comédie réalisée par Jean-Pierre Améris qui sera présent dans la salle.

     

    Synopsis : Comment vivre et aimer quand on est frappé de timidité maladive? Pour certains d'entre nous la perspective d'un entretien professionnel ou une simple conversation téléphonique sont des épreuves insurmontables. Quand Benoît Poelvoorde, patron d'une fabrique de chocolats confie sur un malentendu le poste de commercial à Isabelle Carré, deux grands émotifs viennent de se rencontrer. L'amour du chocolat les a réunis mais c'est le secret d'Angélique qui va leur donner la force d'affronter leurs fantômes en remettant tous leurs sens en éveil. Un conte moderne où l'amour triomphe de tout, une bouffée d'espoir pour les émotifs qui attendent leur fée du chocolat. Source : Première.fr

     

    Tarif adhérents  : 3 euros

     

     

  • BILBAO: ZINEXIT, UN FESTIVAL POUR UN MONDE MEILLEUR

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    A l’initiative de la Direction des Droits de l'Homme du gouvernement basque, voici un festival de cinéma original, Zinexit qui aura lieu à partir de demain jusqu’au 19 novembre au centre culturel Alhóndiga de Bilbao. Son but : promouvoir la vie en commun et la non légitimation de la violence à travers l’art cinématographique. L'entrée est gratuite et les colloques seront animés par des personnalités impliquées dans la défense des Droits de l'Homme.

     

    Le Festival commencera avec l'avant-première du film danois 'In a better world' réalisé par Susanne Bier, suivi du film israélien 'My father my lord' de David Volach, et ensuite seront projetés les films espagnols 'La casa de mi padre' de Gorka Merchán et 'Mujeres en construcción' de Begoña Atín et Maite Ibáñez.

     

    Lire l’interview de Susanne Bier : CLIQUEZ !