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Dimanche prochain les Bascos nous proposent de découvrir la tour D'urkulu. Départ 8h 30 depuis Bayonne nord pour l’ascension d’Urkulu en Basse Navarre. Nous retrouverons nos amis de Rando Gay Pyrénées à Saint Jean Pied de Port.Nous irons ensuite en voiture jusqu'au lieu-dit Beherobie du village d'Estérençuby pour entamer la rando.
Nous traverserons la forêt d'Orion (hêtraie). Notre objectif, le sommet d’Urkulu, est connu car on y trouve les ruines de la base d'une tour romaine, qui aurait été pour eux une tour-trophée.
La rando prendra 4 heures hors haltes pour l'aller et le retour (2h30 pour l'aller); il y a 1.100m de dénivelé. Nous redescendrons par le même chemin.
A l’heure où un projet de loi est sur le point d’être présenté en Conseil des ministres, l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Bayonne Lescar et Oloron organise, à Bayonne ce vendredi 2 novembre une soirée-débat autour de Mme Béatrice Bourges, porte-parole nationale du « Collectif pour l’enfant » sur le thème : « Et l’enfant dans tout ça ? Les enjeux du mariage pour tous et de l’homoparentalité ».
Les Bascos, association des Lesbiennes Gays Bi et Trans du Pays basque, organisatrice de la Lesbian Gay Pride de Biarritz, estime que l’on ne saurait débattre d’un tel sujet sans inviter les familles homoparentales et leurs représentants. Comment aborder en effet les problématiques évoquées sans la présence des principaux intéressés ?
C’est pourquoi l’association a adressé ce lundi 29 octobre une demande aux organisateurs de cette conférence pour pouvoir faire entendre ce vendredi soir 2 novembre à Bayonne la voix des familles homoparentales, ici au Pays basque.
Dans un récent communiqué Marc Aillet réclamait un débat public sur ces thématiques : les Bascos sont prêts à prendre dans la sérénité toute leur place dans cette soirée-débat à Bayonne. Les organisateurs sont-ils eux prêts à un tel échange?
On ne saurait parler de débat que si des points de vue différents ne peuvent s’exprimer. C’est le principe même de toute démocratie. Il revient à l’Observatoire sociopolitique de l’évêché de Bayonne Lescar et Oloron de mettre en pratique ce principe.
Dans un souci de transparence, les Bascos rendront publique la réponse ou l’absence de réponse des organisateurs de cette conférence débat et prendront toutes les initiatives utiles pour la défense des intérêts des familles homoparentales.
Dimanche, les Bascos (groupe des randonneurs) étaient de sortie pour une ascension par la face orientale de la Rhune. Montée bucolique depuis Sare qui les a conduits , sous un doux soleil, jusqu’au sommet du belvédère ; l’occasion d’admirer les couleurs fauves de l’automne basque. Pour voir toutes les photos cliquez ici !
Samedi, les Bascos, ( groupe des promeneurs) , a visité Gétaria, petit port de pêche au sud de Donostia et patrie d’El Cano. Ce navigateur basque est célèbre pour avoir ramené à Séville les derniers survivants de l'expédition commandée à l'origine par Fernand de Magellan. El Cano a accompli de fait la première circumnavigation du globe de 1519 à 1522 à bord de la Victoria.
Au programme, la visite du tout nouveau et superbe musée musée cristobal balenciaga, inauguré en juin 2011, une déambulation, malgré la pluie, dans la vieille ville avant un déjeuner sur le port. Pour voir toutes les photos cliquez ici !
Les manifestations d'Alliance Vita se poursuivent, et parmi les villes qui ont eu droit à leur happening aujourd'hui, Pau (le diocèse avait relayé l'appel à manifester). Comme à Nantes, des associations – le Planning familial, Osez le féminisme, Aides, l'association LGBT Idem – avaient appelé à une contre-manifestation, ponctuée de baisers.
«Une petite centaine de personnes de chaque camp se sont affrontées à coups de slogans», rapporte La République des Pyrénées, qui précise que des élu-e-s ont rejoint les partisan-e-s de l'ouverture du mariage, mentionnant la conseillère régionale Front de Gauche Isabelle Larrouy et les élus socialistes palois Jérôme Marbot et Louis De Fontenelle.
Deux couples de femmes se sont embrassés face aux anti-mariage. «Nos baisers ont été très mal vus, raconte l'une d'elles, Angélique Sciancalepore, à Yagg. On s'est fait pousser, il y avait des marches, on a failli tomber. C'était très virulent.»
«Il y avait beaucoup de personnes âgées, précise Angélique, qui se présente comme «maman lesbienne célibataire». Leur discours mélange tout. On a pu dialoguer avec certains, mais d'autres étaient très agressifs. Tout le monde n'était pas fermé à l'adoption – ils préfèrent qu'un enfant soit heureux avec deux hommes ou deux femmes qu'abandonné –, mais pour le mariage, c'est un “non” catégorique.»
«Il faut que les choses bougent, ne serait-ce que pour mes enfants», a conclu Angélique, visiblement secouée et un peu déçue du peu de mobilisation des pro-mariage pour tous.
Nos Dupond et Dupont de l’UMP, Copé et Fillon, nous ont fait un incroyable numéro de duettiste hier soir sur France 2 : ensemble, tous ensemble contre nos droits, contre le mariage pour tous ! Ces deux là n’ont de toute évidence tiré aucune leçon de la bataille du pacs ( qu'ils plébiscitent maintenant) et ignorent complètement ce qui se passe dans les autres pays européens ( où ça?)
Dupond et Dupont dans le texte :
COPE : "Je pense que cette loi n'est pas prête d'être votée. Le gouvernement a repoussé sine die" "Je mettrai tout ce que je peux de convictions pour montrer que cette loi va provoquer de la déstabilisation dans la société" "Les Français sont en train de réaliser qu'on est en train de modifier le code civil" " Et toujours à propos de la future loi : "si elle devait l'être, à titre personnel, je ne les célébrerais pas, je déléguerais tel ou tel des mes adjoints pour le faire"
Quel courage !
FILLON : "Je veux dire mon opposition totale au mariage homosexuel [...] et je demande l'arrêt de ce texte", a déclaré l'ancien Premier ministre. "La vérité, et les Français doivent le savoir, c'est qu'il y a en gestation un texte qui va profondément modifier la question de la filiation. Donc, j'y suis totalement opposé et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour empêcher ce texte d'aboutir" sur un sujet comme celui là, on ne peut pas considérer qu'une fois le texte voté, les choses sont acquises"
On rêve : ainsi Fillon considérerait naturel que l’on accorde le droit de se marier à des citoyens et puis qu’à la prochaine alternance on le supprime. Quid des couples déjà mariés ?
Il est vrai que Fillon a été de tout temps contre tout droit pour les LGBT en votant contre la dépénalisation de l'homosexualité en 1981 et contre le pacs en 1999 et en s’illustrant par quelques déclarations récentes sur le mariage des homos qui serait contraire à la sécurisation des enfants.
On vous le disait en titre : hormis quelques électrons libres, la droite n’a décidément rien compris depuis l’adoption du pacs. Pitoyable. Ne reste plus qu'une gauche toute effrayée de son audace égalitaire. Alors François, tu veux ou tu veux pas?
Les amoureux des émotions fortes, de la peur et du gore se précipiteront au XXIIIème festival du Cinéma fantastique et d'horreur de Saint-Sébastien qui se déroulera au Théâtre Victoria Eugenia ,de ce samedi 27 octobre au vendredi 2 novembre . Le festival propose dans ses sections officielles, les meilleurs courts et longs métrages de l'année du genre mais aussi un large éventail d'activités parallèles : expositions, cycles, activités pour les enfants et les journées consacrées au monde de la bande dessinée.
Parmi les quatre expositions proposées durant le festival, un focus est mis autour de l’œuvre de Santiago Lorenzo. L’artiste de Portugalete propose à la médiathèque de Donostia Jugueteria, une exposition dédiée à son œuvre plastique. Les planches de bande dessinée du jeune donostiar Santiago Valenzuela seront quant à elles sur les murs des cinémas Principe.
Pour télécharger le programme complet : cliquez ici !
Dans un communiqué virulent Act Up remet les pendules à l’heure à propos de l’engagement 31 de François Hollande.
COMMUNIQUE D’ACT UP
Accueilli comme une évidence, un combat enfin gagné, par la majorité des associations LGBT, l’ouverture du mariage et de l’adoption aux couples de même sexe peine finalement à se mettre en place.
Réunionite, préconisations diverses, auditions d’associations, on élabore un "plan d’action gouvernemental", point d’étape dans 6 mois, et le temps passe.
Quelques mesurettes sont également saupoudrées : le congé parental est accordé aux policierEs homsexuelLEs.
Pendant ce temps, la promesse visant à rétablir l’égalité des droits entre homosexuelLEs et hétérosexuelLEs, au moins en terme de conjugalité et de parentalité, s’étiole... La PMA disparaît du projet, reléguée à un autre cadre juridique, après, plus tard. "C’est un autre débat" paraît-il. Autre spécificité juridique, pour les couples d’étrangerEs homosexuelLEs, l’accès au mariage ne sera possible que si cette forme d’union est reconnue dans leur pays d’origine.
Le gouvernement hésite, édulcore, reporte, retarde... Il rassure les réactionnaires, et reçoit même les félicitations de la hiérarchie chrétienne.
Il est visiblement plus compliqué de légiférer que d’aligner des effets d’annonce à l’occasion de la journée mondiale contre l’homophobie ou de la Gay Pride,
Jean-Jacques Urvoas, président socialiste de la commission des lois, justifie sa demande de report : "je ne veux pas qu’on nous accuse d’avoir fait le travail comme des sagouins".
Le PS n’aurait pas réfléchi, ces 10 dernières années, à cette question ?Il n’aurait pas eu le temps d’en apprécier les tenants, les aboutissants, et l’impact tant social que financier ?
Pourtant, sous les 2 dernières mandatures, le PS a déposé près d’une quinzaine de propositions de lois visant à ouvrir le mariage et/ou la parentalité à touTEs, toutes bien évidemment vouées à l’échec, la majorité d’alors étant de droite.
Le Parti Socialiste dispose des pleins pouvoirs, mais fait encore la part belle, sous prétexte de "débat", aux pires chantres de l’homophobie, prêtant une attention toute particulière à leurs thèmes de prédilection : L’enfant, LA famille, reprenant leurs postures catastrophistes "il s’agit d’un profond bouleversement sociétal".
Pendant ce temps, les homophobes de tout poil s’organisent, créent des collectifs de maires dissidents, exigent des clauses de conscience, concoctent des manifestations, réclament un referendum, et brandissent l’argument ultime qui terrorise tant les socialistes : l’opinion publique... En effet, "à peine" 58% des françaisEs seraient finalement favorable au mariage, soient quelques points de moins qu’il y a 6 mois.
Pas un jour ne se passe sans que nous n’entendions ou ne lisions des tirades réactionnaires d’un autre âge, les media sont à nouveau truffés de pamphlets amalgamant homosexualité et polygamie, pédophilie, inceste ou zoophilie..
Cette couardise est insupportable.
Nous étions là en 1998, quand le Parti Socialiste a déserté les bancs de l’Assemblée Nationale le jour du vote du PaCS.
Nous étions là quand, à l’appel de Christine Boutin, des dizaines de milliers d’homophobes nous déversaient leur haine imbécile place du Trocadéro.
Nous étions là quand éluEs de tous bords, Front National compris et associations catholiques, juives et musulmanes défilaient ensemble, uniEs pour l’occasion.
Nous exigeons que le parti socialiste, majoritaire à l’Assemblée Nationale et au Sénat, accélère le processus législatif visant à permettre aux couples de même sexe de se marier et d’adopter.
Nous exigeons que cette loi permette une égalité pleine et entière : mariage, adoption, PMA. Nous exigeons une loi véritablement progressiste.
Si le mariage pour tous promis par François Hollande est approuvé par une majorité de Français, l’homoparentalité, elle, continue de poser question. Rapports entre hommes et femmes, familles recomposées, nouvelles conditions de procréation, elle bouleverse toutes nos représentations de la différence des sexes et des rôles parentaux. A lire un intéressant article de Psychologies magazine sur les enfants d’homos : cliquez ici !
L'humoriste Sophia Aram s’est fait connaître du grand public avec ses billets sur les ondes matinales de France Inter (voir vidéo ci-dessous sur le blog). Elle va tourner dans le Sud Ouest avec sa « Crise de foi », où, pas de jaloux, les trois grandes religions monothéistes en prennent pour leur grade. Lire l'article de Sud Ouest
Ce dimanche était jour d’élection en Euskadi ( Gipuzkoa, Biscaye, Alava).Les partis souverainistes du Pays Basque ( le Parti nationaliste basque et la coalition indépendantiste basque EH Bildu) ont remporté deux tiers des sièges au Parlement de la Communauté autonome basque à l'issue des élections de ce dimanche 21 octobre.
Le Parti nationaliste basque (PNV, droite ) est arrivé en tête avec 27 sièges, sur un total de 75,. La coalition basque EH Bildu (gauche indépendantiste) a obtenu 21 sièges. Le Parti socialiste d'Euskadi (PSE, gauche) a 16 sièges et le Parti populaire (PP, droite) a 10 sièges tandis qu’un petit parti , l’Union Progrès et Démocratie (UPyD) a obtenu 1 siège.
Résultats par territoires
Le Parti nationaliste basque est arrivé en tête dans les trois territoires de la Communauté autonome basque, à égalité avec EH Bildu en Gipuzkoa.
En Biscaye, le PNV a obtenu 11 sièges. La deuxième force est EH Bildu, avec 6 sièges, suivie par le PSE (5) et le PP (3).
En Gipuzkoa, le PNV et EH Bildu ont obtenu chacun 9 sièges, suivis par le Parti socialiste (5 sièges) et le Parti populaire (2 sièges).
En Alava, le PNV a obtenu 7 sièges, alors qu'EH Bildu et le PSE sont arrivés en deuxième position à égalité (6 sièges). Le PP a obtenu 5 sièges et UPyD 1.
Il faut maintenant attendre le jeu des alliances post-électorales pour savoir qui dirigera la communauté basque.
Selon un sondage réalisé par le Parlement européens des Jeunes (PEJ), «association non partisane d'éducation à la citoyenneté européenne», les jeunes européen-ne-s sont très largement favorables à l'égalité des droits entre les couples homos et les couples hétéros. Ils/elles sont d'accord à 85,5% avec l'affirmation selon laquelle «les couples de même devraient avoir le droit de se marier, avec tous les droits dont jouissent les couples de sexe opposé». En France, ce chiffre dépasse les 90%. Le pays où le pourcentage est le plus bas est la Pologne, avec néanmoins plus de 60%.
Ils/elles sont également 73,5% à considérer que les couples gays et lesbiens devraient pouvoir adopter (plus de 90% en Suède, 80% en France, un peu moins de 40% en Pologne).
Le sondage portait aussi sur la perception de l'homosexualité. Ainsi, selon 64% des répondant-e-s, être ouvertement homo est un obstacle dans la vie professionnelle (95% en Turquie, 25% en Norvège, 60,87% en France), «les préjugés contre les homos sont largement répandus» selon 80,4% d'entre eux/elles, et ils/elles sont un peu plus de 20% à se dire mal à l'aise à l'idée de côtoyer des homos (un peu plus de 10% en France, un peu moins de 10% en Irlande, 40% en Pologne).
Enfin, plus de 83% pensent que les pays européens devraient protéger les personnes qui se réfugient en Europe en raison de leur orientation sexuelle.
«Ce sondage, qui est régulièrement effectué par le Parlement européen des Jeunes en collaboration avec la fondation Mercator, a attiré un nombre record de participants sur ce sujet», indique le PEJ, soit 5624 participant-e-s de 45 pays (dont 161 Français-es, 508 Allemand-e-s, 443 Polonais-es, 186 Suédois-es, 107 Irlandais-es…), âgé-e-s de 16 à 27 ans (16-19: 2820, 20-23: 2077, 24-27: 727).
Ce dimanche 21 octobre, ce sont 1.775.291 électeurs d’Euskadi (provinces basques de Gipuskoa, de Biscaye et d'Alava.) qui sont appelés aux urnes pour désigner les 75 députés du Parlement de la Communauté autonome basque.
Ces élections, les premières organisées après l’arrêt de la lutte armée par l’ETA voici un an, seront marquées par le retour au Parlement de la gauche indépendantiste basque exclue du vote en 2009 et qui cherchera à rééditer son succès électoral des dernières élections municipales et législatives espagnoles.
Les sondages annoncent tous une nette victoire des souverainistes, le Parti nationaliste basque (PNV, droite) arrivant en tête, suivi par la coalition indépendantiste de gauche (EH Bildu). Le Parti socialiste d'Euskadi (PSE gauche), arrivé au pouvoir en 2009 grâce à un accord avec le Parti populaire (PP, droite), deviendrait la troisième force, suivi par le Parti Populaire. Aucun parti n'obtiendrait la majorité absolue. Un accord sur un gouvernement de coalition sera sans doute nécessaire.
La crise, avec la hausse du chômage et les politiques d'austérité, et les discours identitaires, avec les aspirations souverainistes et le débat sur le modèle d'État, de plus en plus intense depuis l'appel à l'indépendance en Catalogne, ont été au centre de la campagne électorale.
Sous le titre "Mariage pour tous" , Colette Capdevielle, députée de Bayonne ( au centre sur la photo) s’engage sur son site
"Nous commençons à y voir plus clair dans le projet de loi visant à ouvrir le mariage et l’adoption aux couples de même sexe.
Aucun texte n’affirme que le mariage suppose l’union d’un homme et d’une femme ; cela découle d’autres dispositions contenues dans le code civil. Le PACS dont le succès n’est plus à démontrer ne répond pas au besoin de protection des couples de même sexe ni à la demande d’adoption.
Une nouvelle étape doit être franchie et cela sera l’objet du futur projet de loi qui ouvre le mariage aux couples de même sexe et par voie de conséquence l’accès à la parenté à ces couples, via le mécanisme de l’adoption qui lui est intimement lié.
L’article 143 du code civil va introduire une définition du mariage qui pose symboliquement la possibilité du mariage entre personnes du même sexe.
Le mariage des personnes de même sexe leur ouvrant la voie de l’adoption des dispositions nouvelles seront prises concernant le nom de famille et des dispositions seront prises pour mettre en cohérence le vocabulaire du code civil en remplaçant le terme « père et mère » par « les parents ».
Reste la question de l’introduction de la PMA (procréation médicale assistée) qui est discutée actuellement ainsi que le statut du tiers par rapport à l’enfant.
Je fais partie des députés qui considèrent qu’il faut introduire dans ce texte la possibilité pour toutes les femmes d’avoir recours à la PMA, comme cela est le cas en Espagne ou en Belgique. En effet pourquoi refuser la maternité à une femme ? Il s’agit de revendiquer une égalité de droits.
Nous déposerons des amendements en ce sens pour enrichir ce texte injustement décrié par les plus conservateurs .
Nous devons être novateurs, audacieux, aller de l’avant pour plus d’égalité."
