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Le coq a été sacrifié ! Devant la levée de boucliers sur le net, l’Inter LGBT a donc annoncé que l’affiche au coq annonçant la marche des fiertés parisienne ne serait pas imprimée. Mais force est de constater, quelque soit l’opinion de chacun à son sujet, que l’affiche virtuelle a néanmoins atteint son objectif : une couverture médiatique inespérée pour la marche de juin !
Au-delà de la polémique, l’essentiel n’est-il pas au final que le plus grand nombre s’approprie l’évènement et participe à cette manifestation qui s’annonce majeure avant les échéances électorales de 2012 ?
Du côté de Biarritz, la préparation de la marche bat son plein et la mise en ligne du projet d’affiche 2011 est imminente…Prudente, la petite équipe des organisateurs a décidé de procéder demain samedi à un sacrifice préventif !
Basco-Sphère/ Euskal esfera, l’association LGBT du Pays basque prepare une sortie à Bilbao le 28 mai; l’occasion de découvrir la capitale de biscaye sous tous ses aspects…
A ne pas rater : Herri Urrats, la grande fête annuelle des ikastola du Pays Basque qui aura lieu le dimanche 8 mai à Saint-Pée-sur-Nivelle. Faites le savoir autour de vous !
Après avoir pendant 10 jours et 10 nuits, parcouru plus de 2.500 kilomètres et traversé 400 villes et villages du Pays Basque, la dix-septième Korrika (la course-relais en faveur de la langue basque) est arrivée à Donostia ( Saint Sébastien) ce dimanche. Les participants nous ont appelés à devenir tous des "euskalakari" (néologisme, combinant les mots "euskal" basque et "kalakari" bavard), c'est-à-dire à aimer, apprendre, pratiquer une des rares langues non indo-européennes encore vivantes en Europe.
C’est avec grand plaisir que nous souhaiterions apporter notre soutien à deux artistes, Marie Roux (actrice, scénariste et productrice) et Nathalie Camidebach (réalisatrice et productrice), afin de les aider à réaliser leur premier long-métrage "I leave here" qui doit être tourné a Los Angeles et Biarritz.
Après le succès de leurs deux premiers courts métrages ("Remember The Eyes" et "Innocence Remains"), les deux jeunes femmes envisagent de réaliser un long-métrage, "I leave here". Inspiré d'une histoire vraie, "I leave here" raconte une idylle entre deux femmes : Chloé, Française, et Emma, Américaine. Toutes deux construisent leur vie commune aux Etats-Unis, mais cette vie se trouve menacée lorsque le renouvellement du visa de Chloé est compromis. Jusqu'à ce que la législation américaine adopte The Uniting American Families Act et accorde aux homosexuels le droit au mariage et à l'immigration, pour rester ensemble, l'une d'elles devra faire un sacrifice et ainsi quitter famille et carrière.
"I leave here" n'a pas une vocation politique, mais pourtant c'est une romance déchirée par les pouvoirs politiques. Après l'énorme succès de "Brokeback Mountain" et de "Milk", voici un film qui lutte contre cette injustice. Une seule chose manque à ce projet : le budget. Idéalement, Marie et Nathalie souhaitent qu' "I leave here" soit porté à l'écran aussi bien par leur équipe que par vous, ainsi que par tous ceux qui, à travers le monde, en auront entendu parlé. Pour réaliser ce film ambitieux, elles ont donc besoin de vous. Comment ? Il vous suffit simplement de vous connecter sur le site internet http://www.ileavehere.com et de faire un don d’un montant de votre choix (le don sera possible grâce au lien Kickstarter). Gardez à l’esprit que quel que soit le montant de votre don, votre aide leur sera très précieuse. Alors, ensemble, aidons les à réaliser ce magnifique film en ajoutant chacun une pierre à l’édifice avant le 21 Mai, date de clôture de la campagne. Pensez à la satisfaction personnelle et à la fierté que vous auriez en regardant ce film en salle, réalisé et présenté au grand public grâce à vous… Bien entendu, ne vous refrénez pas de répandre l’information partout autour de vous !
A l'occasion de la journée de lutte contre l'homophobie, leur deux courts métrages seront projetés au cinéma le Royal de Biarritz le 17 mai. Marie Roux et Nathalie Camidebach y seront présentes. Venez nombreux....
Sept danseurs sur scène et quatre musiciens : c’est Un monde en soi, la dernière création de la compagnie Abou Lagraa avec le Quatuor Debussy. Une danse qui mixe classique et hip-hop , pour évoquer la création du monde et son évolution…Ce sera dimanche soir sur la Scène Nationale Bayonne Sud Aquitain à 20h 30. Renseignement et réservations : théâtre de Bayonne - Scène nationale, tél 05 59 59 07 27 et sur www.snbsa.fr . Prix des places : 30 euros plein tarif.
Nous en parlions dans un post de l'année passée à propos du combat de Thomas, un jeune Luzien qui ne pouvait récupérer l’urne funéraire de son compagnon décédé. Peu avant l’été lors d’une discussion parlementaire Alain Vidalies , député des Landes avait tenté en vain de faire modifier la loi et obtenir la mention de pacsé en marge de l’acte de décès. Et bien après bien de refus, c’est chose faite ; l’ amendement stipulant que sur l’acte de décès figureront: « Les prénoms et nom de l’autre partenaire, si la personne décédée était liée par un pacte civil de solidarité » a été adopté jeudi malgré les très fortes réticences du gouvernement.
Si vous ne comprenez toujours pas l’intérêt de cette décision, cliquez ici !
La bataille de l’’affiche de la marche des fiertés parisienne (ci-dessus) fait rage sur le net. Il suffit pour s’en convaincre de lire les articles de Têtu ou de Yagg et tous les noms de volatiles échangés… Bonne nouvelle cependant: tout le monde en parle!
Attendons l’affiche de la marche des fiertés de Biarritz ...
Retrouvez toutes les vidéos de la 17ème Korrika (la course relais en faveur de la langue basque, organisée par AEK (la fédération des cours de basque aux adultes ) sur le site de la télévision participative Kanaldude en cliquant ici !
Voici donc l’œuvre de Benoît Labarthe , artiste peintre et graphiste qui a remporté le concours pour l’affiche des fêtes de Bayonne 2011. Cette création nous entraîne dans un tourbillon « cartoonesque » vers le « le joyeux bordel des Fêtes » comme l’a confié le créateur au quotidien Sud Ouest.
Pour tout vous avouer Bascoblog avait un petit faible pour l’affiche ci-dessous de Clarisse Balacey qui faisait partie des 3 finalistes et qui est arrivée en seconde position des votes. Mais soyons fair-play, félicitons le vainqueur et vive les fêtes 2011 !
Valérie et Nathalie vivent ensemble depuis 1989. En septembre 2000, Nathalie a donné naissance à une fille, conçue en Belgique par procréation médicalement assistée avec donneur anonyme. En avril 2002, les deux femmes ont conclu un pacte civil de solidarité (PACS).
La demande de Valérie pour une adoption simple de la fille de sa partenaire, avec le consentement de celle-ci, ayant été rejetée par toutes les juridictions compétentes en France, elles ont saisi la Cour Européenne des Droits de l’Homme. Nathalie et Valérie considèrent en effet qu’ il y a atteinte au respect de la vie familiale à cause de leur orientation sexuelle. L’audience avait lieu hier et vous pouvez suivre la retransmission sur le site de la CEDH en cliquant : ici ! En attendant la décision.
La météo s’annonçait incertaine : rageant après une semaine de soleil ! Les Bascos étaient néanmoins une bonne quinzaine a vouloir s’engager sur les crêtes de l’Halzamendi (rando annoncée comme printanière et aérienne…). Début de la marche à partir du petit village d’Osses sous un ciel certes gris mais encore sec. Seul au passage un solide cheval semblait déjà rire de la suite de l’expédition...
Après une première ascension, rencontre avec une petite bruine sans conséquence. Pas un murmure ; vaillante la troupe poursuivait jetant cependant de temps à autres, quelques regards inquiets sur les sombres nuages qui léchaient les crêtes. Et puis inexorablement, les nuées dévalèrent la pente, accompagnées de rafales de vent et d’une pluie cinglante. Couinements parmi les randonneurs. Imperturbable, la tête de la marche persévérait, insensible aux premiers gémissements et s’enfonçait dans le brouillard. Le groupe se scindait même en deux ; les gémissements devenaient appels au renoncement. Les meneurs maudissant ces âmes faibles exhortaient au dépassement : une demi-heure durant l’ascension se poursuivait…
A 200 mètres du sommet, regroupement dans le brouillard et ce constat définitif : plus aucune visibilité, plus aucun sentier, plus aucun espoir : retraite ! Au grand soulagement de quelques uns, la troupe s’engageait dans une douce descente et la promesse d’un rendez-vous émollient au coin du feu chez deux randonneuses du cru…Splendeur et misère de l’embourgeoisement !
Prochaine sortie le 24 avril pour découvrir un sentier oublié de l’Irubelakasko