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PAYS BASQUE - Page 12

  • CONCOURS DE L'AFFICHE DES FÊTES DE BAYONNE 2010

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    Affiche et lauréat 2008

    La septième édition du concours d'affiche des Fêtes de Bayonne est lancée depuis le 19 février. Organisé depuis 2004,  ce concours est ouvert aussi bien aux amateurs qu'aux professionnels. Les projets doivent  impérativement être déposés au musée Bonnat jusqu'au lundi 22 mars.

    L'ensemble des projets sera présenté dans un premier temps au jury officiel qui procédera à une présélection de trois affiches. Ces dernières seront ensuite exposées aux arènes de Bayonne, avec l'ensemble des projets non retenus. Elles  seront soumises au vote du public qui déterminera le vainqueur du concours (du dimanche 28 mars au dimanche 4 avril).L'affiche gagnante et le nom du lauréat seront  définitivementdévoilés lors d'une conférence de presse le 12 avril 2010.

    Le règlement du concours et le bulletin d'inscription sont téléchargeables

    sur le site www.fetes.bayonne.fr.

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    Pour (re)découvrir les affiches des éditions passées : Cliquez ! 

  • VOUS PENSIEZ CONNAÎTRE LE PAYS BASQUE ? VOICI IPARRALDEA XXI

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    C'est une vidéo toute récente! Son objectif : Faire mieux connaître le Pays Basque nord  (NDLR : aquitain) et la richesse de sa vie culturelle aux jeunes; telle est l'ambition du documentaire "Iparraldea XXI" produit par l'Institut culturel basque en partenariat avec la députation du Gipuzkoa. 

    Vous découvrirez en ligne le festival EHZ, le Pôle France Surf , le groupe Amaren Alabak , le festival Dantza herrian , les Bertsolaris et même le rap basque avec le groupe Mak ;  et tout cela sous la houlette du jeune champion de pelote Yves sallaberry (photo) appelé aussi Xala.

     


    Iparraldea 21 - Pays Basque envoyé par Iparraldea21.

    En savoir + : Cliquez !

  • L'EUSKARA OU LANGUE BASQUE EST BIEN VIVANTE !

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    Un petit rappel  s’impose pour les lecteurs de ce blog  . Le Pays basque c’est en fait en trois entités : deux communautés autonomes d'Espagne ( la Communauté autonome du Pays basque,  composée des trois territoires historiques d'Alava, de Guipuscoa et de Biscaye et la Communauté  forale de Navarre ) et le Pays basque français (administrativement une partie du département des Pyrénées-Atlantiques), pour moins de 10% de la population basque totale.

    La langue basque, ou euskara est une des composantes importantes de la culture basque. C'est une langue vivante, l’une des rares langues non indo-européennes de notre continent,   qui est parlée par plus de 1 063 700 personnes. Dans la communauté autonome basque et le nord de la communauté forale de Navarre, la langue basque est officielle avec l'espagnol, avec respectivement 99,4 % des enfants qui sont scolarisés dans une école où le basque est enseigné et 41,4 % en Navarre. Par contre seuls 21,7 % des enfants français du Pays basque sont scolarisés dans une école basque. (sources wikipédia)

    La langue constitue donc un enjeu très important sur le plan politique, notamment au sud de la Bidasoa. C'est d’ailleurs  le cheval de bataille des partis nationaux espagnols : ouvrir plus de classes en langue espagnole au sein de la Communauté autonome d'Euskadi. Or les pré-inscriptions pour septembre 2010 viennent de se terminer et sont sans appel. Elles indiquent que sur 18 240 élèves,  la grande majorité des familles basques d’Euskadi continuent d'inscrire leurs enfants en modèle D en basque (74 %) ou  en modèle bilingue B (22 %). Reste donc le modèle A ( en espagnol) qui ne  compte que 700 inscrits, soit 4 % de la population scolaire. Le modèle en euskara continue  donc toujours à être plébiscité.

    + info : Le Journal du Pays Basque.

  • PAYS BASQUE: EMMENE - MOI LA HAUT DANS LES CABANES...

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    Voila une jolie proposition pour une nuit romantique à deux pas de chez nous : Depuis 5 années déjà, Sue et Frédéric nous proposent des cabanes… d’hôtes dans les arbres. Elles sont  perchées  sur les hauteurs du village d'Itxassou, disséminées autour d'une très ancienne borde restaurée avec soins.  Le site est donc  très proche de la cote, pas loin du pittoresque village d’Espelette, sur le Mondarain (749m) que les Bascobaroudeurs ont déjà escaladé à de nombreuses reprises.

     

    Les trois cabanes (Patou, Artoliak, Laminak) sont construites selon des règles et un aménagement commun : pas de clou, ni de vis, pas de branche coupée, pas d’intervention sur le tronc. Elles sont montées puis  posées sur l’arbre et  parfois une branche vient traverser une chambre ou un couloir…

     

    Les trois cabanes disposent toutes d’une douche à l’eau de source, de toilettes et de chauffage. Elles donnent chacune sur une terrasse avec transats et  table pour prendre le petit-déjeuner ou le dîner.

     

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    La cabane « Laminak » (ci-dessus), la plus élevée est ainsi perchée sur un vieux chêne en bordure de foret (6 mètres au point le plus bas et 9 mètres coté terrasse), une vue exceptionnelle sur la montagne et la campagne basque. Elle est accessible facilement par un escalier d’Iroko. A l’intérieur, une chaleureuse ambiance de bois cirés, rideaux en velours chocolats et un lit double en mezzanine… Les repas, hissés jusqu’à la terrasse peuvent être pris à l’intérieur ou à l’extérieur ou mobilier bois et chaises longues vous attendent.  

     

     

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     La cabane Artoliak (ci-dessus) ne se livre elle, qu’après avoir traversé une passerelle suspendue. Vertiges de l’amour ?

     

    Les tarifs : comptez à partir de 100 euros pour une cabane, 18 euros pour un souper et 7 euros pour le petit déjeuner. Vous pouvez même, sur réservation, demander champagne et bougies à l’arrivée ! Comme le dit le dicton : Quand on aime, on ne  

     

    Attention : ce petit paradis est très demandé et il faut réserver longtemps à l’avance !

     

    Visitez absolument le très joli site en cliquant ICI 

     

  • LA PREMIERE MISS ETAIT BASQUE !

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    Lors de la première édition de « Miss France » en 1920, 1 700 jeunes filles s’inscrivirent et, après une première sélection de 49 candidates par un jury, elles parurent sept par sept pendant sept semaines sur les écrans des cinémas, pendant l'entracte. Les spectateurs  recevaient  à l’entrée un bulletin pour voter.

     

     La première lauréate , élue à une majorité écrasante,  fut  donc Agnès Souret,  âgée  alors de 17 ans… Des cheveux bouclés bruns en cascade dans le cou, des yeux de chatte et cet air langoureux propre aux jeunes filles des années 20... Elle était  née à Biarritz, en 1902 , basque par sa mère et bretonne par son père. 

     

    Du jour au lendemain, le nom d’Agnès Souret fit le tour du monde. Comme son idole Sarah Bernhardt, Agnès Souret rêvait de la scène. Sa première tentative au cinéma fut un premier rôle dans le film « le lys du Mont Saint michel" qui connut un bide retentissant.   Elle travailla alors, sans vraiment convaincre, comme modiste et poursuivit finalement sa carrière  dans le domaine de la danse, en devenant , comme sa mère avant elle, danseuse au Ballets de Monte-Carlo.  Elle fut ensuite meneuse de revue aux Folies Bergères .

     

    La maison de famille d'Espelette avait été pendant ce temps renommée Ederrena (la plus belle). Entre ses revues et tournées, Agnès Souret revenait de temps à autres dans son Pays basque natal. On la croisait sur la croisette de Biarritz, le long de la Grande Plage, avec son chien Cricri ou sur un cheval. Elle buvait le thé dans un service en porcelaine. (voila des détails qui plairont à certains Bascos…)

     

     Mais elle connut un destin tragique, emportée en 1928 par une crise d’appendicite au cours d’une tournée en Argentine. Sa mère,  vendit tous ses biens, maison comprise afin de rapatrier sa dépouille et lui offrir un caveau à Espelette.

     

    Dans le cimetière du village, adossé au mur de l’église se trouve le mausolée en marbre rose à colonnes Art déco orné de roses et réalisé par le sculpteur Danglade. Classée Monument historique en 2006, la tombe est désormais la propriété de la commune.

     

    Si le hasard vous conduit du côté d’Espelette, ne manquez pas de vous arrêter pour saluer la première Miss France, connue sous l’expression «  la plus femme de France »

     

    Source : « Pays basque insolite et secret » aux éditions Jonglez, 17, 90 €