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Ce documentaire sera visible ce soir sur France 4 à 20h 35. Jeanne Broyon y parle d’homophobie, d’homoparentalité, de la vie des lesbiennes d’aujourd’hui, avec humour et dérision, légèreté et finesse. Ce documentaire est d'ores et déjà visible sur le site de la chaîne:
Pour le découvrir, tout de suite, cliquez Là !
A partir d’aujourd’hui, l’Atalante propose « Nuits d’ivresse printanière » réalisé par Lou Ye. Ce film a obtenu le prix du scénario du festival de Cannes 2009 . Il aborde le thème de l'homosexualité en Chine.
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Le synopsis : Nankin, de nos jours, au printemps. La femme de Wang Ping le soupçonne d'infidélité. Elle engage Luo Haitao pour l'espionner et découvre ainsi l'amour que son mari porte à un homme, Jiang Cheng. C'est avec lui que Luo Haitao et Li Jing, sa petite amie, se jettent alors à corps perdu dans une folle équipée amoureuse. C'est pour tous trois le début de nuits d'ivresse suffocantes, qui égarent l'esprit et exaltent les sens. Un sulfureux voyage aux confins de la jalousie et de l'obsession amoureuse.
Le champion australien de nage libre Daniel Kowalski a dans sa carrière remporté quatre médailles olympiques: deux de bronze et une d’argent aux JO d’Atlanta en 1996 et la médaille d’or en 4X200 Mètres nage libre à Sidney en 2000. Aujourd’hui retiré de la compétition il a fait son coming out dans la presse ce week-end. Lire la suite sur Gay Kosmopol
Le syndicat lycéen, la FIDL ( Fédération Indépendante et Démocratique Lycéenne) vient de lancer une campagne contre l’homophobie parrainée par Michael Youn: " l'homosexualité n'est pas un problème, l'homophobie en est un ! " Des affiches, des spots seront diffusés dans les jours à venir.
Le site de la campagne: cliquer ici pour y accéder.
Pour plus d’infos sur les lieux de projection
et consulter le programme complet,
visitez le site officiel
L’Union des organisations islamiques de France, principale composante du CFCM (Conseil français du culte musulman) vient au cours du dernier week-end, à l’occasion de la 27ème rencontre annuelle des musulmans de France, de présenter une exposition sur les "Vérités scientifiques" de l'Islam, désignant notamment les homosexuels comme vecteurs de virus, le sida comme punition divine... (source : e-llico.com )
envoyé par Yann333
Hexagonegay est un tout nouveau site "consacré à la mémoire collective LGBT en France :"6 ans de recherche et de rédaction ont permis de réunir des centaines de documents et de retracer sur 260 pages l'histoire des lieux gay (bars, clubs, cabarets, lieux publics...), du militantisme LGBT (associations, presse communautaire, biographies de militants...)", indiquent les éditeurs du site.
Hexagone Gay vous propose notamment de découvrir trois décennies de vie gay en Aquitaine de 1960 à 1990 de Biarritz à Bordeaux : cliquez !
Dans son numéro du mois de mars, Le journal du CNRS consacre une enquête passionnante sur les tabous : sexualité, famille, maladie, mort ( de la page 18 à la page 27 du magazine)
Charline Zeitoun, l’auteure de l’article sur la sexualité, consacre ainsi ( à la page 21) un encadré sur l’homosexualité, qui sous des formes différentes, n’a jamais cessé d’exister dans le monde. Même si, comme le souligne Patrick Awondo, du Laboratoire d’anthropologie sociale (LAS), “l’homosexualité n’a jamais fait figure de modèle”, car " le principe premier de l’union sexuelle a toujours été la reproduction"
Ainsi, en Afrique, les pratiques homosexuelles étaient tolérées et souvent acceptées… avant que les missionnaires chrétiens et la colonisation généralisent la diabolisation et la criminalisation de l’homosexualité.
Mais note le sociologue Eric Fassin " pour nous, (en Occident), l’homosexualité, ce ne sont pas seulement des pratiques ; c’est une identité"
Et Patrick Awondo de conclure " Au final, le travail des chercheurs est à présent de documenter l’existence des pratiques partout dans le monde et de montrer qu’il y a de multiples identités homosexuelles "
A noter encore (page 23), l’article " des parents pas comme les autres " qui relativise bien des arguments de ceux qui s’opposent à l’homoparentalité.
N’hésitez donc pas à télécharger gratuitement ce passionnant numéro de mars en cliquant ici.
France 2 évoque le coming out de Gareth Thomas
envoyé par jeanrossignol.
Certains d’entre vous ont découvert ce film mardi soir à Bayonne ; beaucoup semblent l’avoir apprécié. Une séance de rattrapage est donc possible pour tous les absents, mardi prochain à 21h à Biarritz, avant la sortie officielle le lendemain.
Ander est le premier film basque à thématique gay, loin des clichés sur l'homosexualité. Le jeune réalisateur de ce film est Roberto Caston, auteur de plusieurs courts-métrages , et Directeur depuis 2004 du Festival International de Cinéma Gay, Lesbien, Bisexuel et Transsexuel "Zinegoak"de Bilbao.
Lire une intéressante interview du cinéaste en CLIQUANT ICI
A noter encore que ce film est une initiative de Berdindu, le bureau Basque d'Attention aux Gays, Lesbiennes, Bisexuels, Transsexuels et Intersexuels, structure dont l’existence est aujourd’hui remise en question et qui avait pour but de promouvoir la culture LGBT, la production cinématographique et la langue basque.
Le tournage d'Ander a réuni plus de vingt professionnels du Pays Basque dans la vallée d'Arratia, dans la région de Biscaye. Le film a été tourné en basque et en espagnol. Plus de 50 figurants choisis parmi les habitants de la vallée avec l'appui de la mairie locale ont participé au film.
Aussi étrange que cela puisse paraître, le film n'a toujours pas trouvé de distributeur sur le territoire espagnol...
Ce soir l'Atalante à Bayonne propose en avant-première le film « ANDER », en présence du réalisateur Roberto Caston et du principal comédien Josean Bengoetxea (sous réserve). Apéro-tapas à partir de 20 h 00. Séance à 20 h 45.
Synopsis : Ander est un quadragénaire qui vit dans la campagne basque. Il mène une existence très monotone entre son travail dans une usine de vélos et les tâches agraires de la ferme où il habite avec sa mère et sa sœur. Lors d’un accident, il se casse la jambe et est contraint d’ embaucher José, un émigré péruvien, pour faire face à la charge de travaux de la maison. L’arrivée de José bouleverse les relations d’Ander avec sa famille et son entourage...
Prix C.I.C.A.E au Festival de Berlin 2009 / Prix d’interprétation masculine au Festival Premiers Plans d’Angers 2010 et au Festival des Jeunes Réalisateurs de St Jean de Luz/ Violette d’Or du Meilleur Film au Festival Cinespaňa 2009.
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Dans le débat que commence à susciter l’ouvrage « Biologie de l’homosexualité » le site Gay kosmopol attire notre attention sur une réponse d’Irène Kaufer qui se présente comme féministe, syndicaliste, résolument à gauche, posant son regard et sa langue acérés sur l'actualité, et de préférence les sujets orphelins. Son argumentation mérite qu’on s’y attarde : CLIQUEZ ICI
Ce péplum de Stanley Kubrick… n’est pas tout à fait lui. Pour la première et unique fois de sa carrière, le réalisateur se retrouvait en effet aux manettes d’un projet sur commande. : Ni droit de regard sur le scénario, ni contrôle de la distribution prestigieuse où chacun a son mot à dire (Kirk Douglas est notamment acteur et producteur) . Qu’à cela ne tienne : On retrouve dans ce péplum quelque chose du génie de Kubrick, un peu de son intransigeance désenchantée.
Le synopsis : en 70 après Jésus-Christ, l'esclave Spartacus, devenu gladiateur, est épargné par un de ses compagnons d’infortune dans un combat à mort. Ce répit va lui permettre de prendre la fuite et, après avoir brisé ses chaînes, d'encourager les autres esclaves à l'imiter et à gagner, même au prix du pire danger, leur liberté. Rapidement à la tête d’une colossale armée, Spartacus entend rejoindre le port de Brides, au sud du pays, et d'embarquer à bord d'un navire . Mais l’Empire romain ne l’entend pas de cette oreille et lance ses légions à la poursuite des esclaves révoltés...
Le film de Kubrick sortit sur les écrans américains le 7 octobre 1960. Mais il fallut attendre 1991 pour connaître la version définitive augmentée de 14 mn avec notamment une séquence évoquant l'homosexualité de Marcus Licinius Crassus (Laurence Olivier) et son bel esclave affranchi Antoninus (Tony Curtis) . Le sexe, dans Spartacus, sert d'un bout à l'autre de décodeur. C'est ce qui en fait un chef-d'œuvre de malice perverse…
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