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B A S C O B L O G ! - Page 101

  • LES BASCOS A VELO !

    Ce dimanche, malgré un ciel peu clément, les Bascobaroudeurs étaient une quinzaine au point de départ à Biarritz. Après un café chaud…  les téméraires ont enfourché leurs vélos et filé en longeant les pistes littorales vers Bayonne.  Toujours sous une petite bruine intermittente, il se sont enhardis sur le chemin de halage le long des  berges de l’Adour direction Ustaritz, puis Villefranque avant une halte inattendue mais  méritée et à l’abri  sur les rives du fleuve (merci Marie jo !). Déjeuner en paix…et  retour via Bassussary : Petites côtes… sans fin pour certain(e)s et arrivée en début d’après-midi à Biarritz dans la bonne humeur au milieu d’une cavalcade populaire. Merci à Fred pour la balade (45 km au final !) et à Myren pour l’hospitalité. Bonne reprise pour les profs...

     

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    Les photos seront bientôt en ligne

     

    sur le site des Bascobaroudeurs 

  • CET HOMME QUI ENVOIE LES BASQUES AU PARADIS...

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    Ce dimanche dans le stade d’ Anoeta,   en s'imposant   face au Munster (18-7),  Biarritz a décroché au terme d'un match héroïque sa place pour la finale de H Cup ( Coupe d'Europe de rugby à XV).  Dimitri Yachvili (photo) a inscrit la totalité des points de son équipe !

     

    Le BO retrouvera Toulouse en finale au Stade de France le 22 mai.

     

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  • OBSEQUES DE JEAN LE BITOUX

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    Les obsèques de Jean Le Bitoux, militant gay et co-fondateur de Gai Pied, ont  eu lieu  ce vendredi 30 avril  au crématorium du Père Lachaise, en présence de Bertrand Delanoë. 

    Le MDH  (Le Mémorial de la Déportation Homosexuelle MDH, que Jean Le Bitoux avait fondé) organisera  fin mai un hommage public : Patrick Bloche, le député-maire du 11e arrondissement , où résidait Jean Le Bitoux , accueillera cette cérémonie publique le 29 mai à 17h, à la mairie.  

    A retenir un article publié sur le site du monde et que nous vous invitons à découvrir : « Jean Le Bitoux, l'une des figures du mouvement homosexuel français, est mort, mercredi 21 avril, à l'âge de 61 ans.Né en 1948, à Bordeaux, le "petit-bourgeois, pianiste et fils d'officier" qu'il était dans sa jeunesse rompt vite avec un milieu familial qui refuse son homosexualité. Dans l'effervescence des années 1970, il rejoint les milieux maoïstes, où il rencontre une "forte homophobie". "Si le mouvement révolutionnaire a du mal à vous accepter, vous n'avez qu'à être plus révolutionnaire que les révolutionnaires", lui recommande Simone de Beauvoir. Jean Le Bitoux n'a guère besoin de ce conseil : il milite déjà dans les milieux radicaux gays.  »Lire la suite sur  lemonde.fr 

    A retenir encore cette vidéo mise en ligne par Yagg , avec le témoignage du producteur Voto Leclerc, qui a bien connu Jean Le Bitoux : 

  • L'ABANDON

  • LES INVITES...

  • PREMIERES PHOTOS DE LA SORTIE AU LAC DE GREZIOLLES

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    Toutes les photos seront bientôt en ligne

     

    sur le site des Bascobaroudeurs 

     

  • DIFFERENCE ET INDIFFERENCE: UN BILLET DE BERTRAND DELANOE

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    "Un militant de l’égalité et du respect est mort. Jean Le Bitoux, qui fut, avec Michel Foucault, l’un des inspirateurs du journal Gai Pied, vient de quitter ce monde qu’il aura tellement travaillé à changer. Témoin des années radicales, qui ont vu de courageux pionniers défier une société figée, il aura, en particulier par son travail de mémoire, accompagné un mouvement profond de la conscience de notre pays.

    Quand une cause perd l’un de ses plus ardents défenseurs, c’est le moment de faire un point d’étape, de mesurer les avancées, le terrain conquis, peut-être le terrain perdu, l’histoire qui est faite et celle qui reste à faire.

    Et la vérité, c’est que beaucoup reste à faire. Songeons à ces pays, si nombreux, où l’homosexualité est toujours considérée comme un crime, puni de mort, à ces jeunes pendus en Iran, ou décapités en Arabie saoudite, coupables d’être ce qu’ils sont. Rappelons-nous aussi qu’en Russie, en 2010, tout rassemblement homosexuel est encore interdit.

    Mais sans aller si loin, voyons où en est la France : on peut se demander si nous ne sommes pas entrés dans une triste période de régression silencieuse. Il y a quelques semaines, de jeunes homosexuels ont été frappés, en pleine rue, au cœur du quartier du Marais, à Paris. Voici quelques jours, sur le parvis de Notre-Dame, des couples ont été violemment pris à partie parce qu’ils avaient osé s’embrasser. Plus récemment encore, dans notre ville, les locaux d’une association de lutte contre l’homophobie ont été vandalisés. Dans l’Essonne, c’est un couple de jeunes femmes qui est obligé de déménager pour échapper aux insultes et aux outrages de ses voisins. Et la presse de ce matin rapporte cet acte d’une incroyable barbarie commis il y a un an dans la Nièvre : deux homosexuels ligotés, bâillonnés et enterrés vivants au bord de la Loire… Cette liste est longue, propre à lasser l’attention d’un lecteur pressé. Elle pourrait être plus longue. Mais elle aurait pu aussi être tellement plus courte….

    Tout se passe comme si une nouvelle chape de plomb descendait, lentement, inexorablement, avec la morgue des intolérances sûres d’elles-mêmes et de leur histoire. Parfois, ce sont les religions qui y contribuent, en sacralisant des normes ou en alimentant des amalgames : il y a quelques jours, le porte parole du Vatican établissait ainsi, du haut de l’autorité morale qu’il exerce sur plus d’un milliard d’êtres humains, un lien entre homosexualité et pédophilie. Cette somme de méconnaissance, d’ignorance, de ressentiments et de préjugés, pèse lourd, et en profondeur, sur nos sociétés fatiguées. Des esprits trop faibles ou trop dociles peuvent être perméables aux discours de la haine : Jean-Marie Périer, dans un livre bouleversant publié cette année, évoquait la détresse de ces adolescents chassés de chez eux par leurs parents, pour la seule raison qu’ils sont homosexuels.

    Au nom de ces enfants humiliés, travaillons à construire une société où ils aient leur place. Les homosexuels ont été confrontés à toutes les souffrances du rejet, de la peur, de la honte, du secret. Ils ont traversé – et traversent encore- des épreuves inouïes, notamment celle du sida, qui les a touchés violemment, au moment précis où ils avaient cru avoir enfin, et à quel prix, conquis le droit à une certaine insouciance. Ils ont droit, aujourd’hui, à la liberté d’être.

    C’est Jean-Louis Bory, cet éclaireur des luttes pour l’égalité, qui déclarait en 1979: « Tout ce que je demande, c’est que vous me laissiez vivre. Parce que je représente une part extrêmement vivante de la vie… »

    Une société est faite de différences. Et son degré de civilisation se mesure à sa capacité de regarder ces différences avec indifférence. Nous en sommes encore loin."

    Source : http://bertranddelanoe.net/

  • DIMANCHE 19 H 10 FR 3: LES AFFRES DE LA GUERRE CIVILE D'ESPAGNE

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    « Le Magazine du Pays Basque (magazine produit par france3 Euskal Herri) s'intéresse à la mémoire de la guerre civile espagnole, et à sa transmission 74 ans après. Une émission à regarder, le dimanche 25 avril, à 19 h 10 sur France 3.

    Après trois années de guerre civile entre 1936 et 1939, opposant forces républicaines et insurgés nationalistes, l'Etat espagnol se retrouve sous le joug franquiste jusqu'en 1977. Près d'un million de morts et 500 000 réfugiés, telles sont les estimations approximatives données par quelques historiens.

    Il y a quelques jours, une nouvelle fosse a pu être mise à jour en Navarre grâce au travail du centre d'études Aranzadi (centre d'études basé à Donostia) et à la municipalité du petit village d'Aibar près d'Iruñea qui a facilité les investigations.

    Depuis 1936, les familles de quatre fusillés n'avaient plus aucune nouvelle de certains de leurs proches. Sans sépultures depuis pratiquement 75 ans, ses familles se trouvaient dans l'incapacité de faire leur deuil. Il y a peu, elles ont retrouvé les restes de leur grand-père ou de leur père.

    L'équipe de reportage a voulu les entendre «au nom d'une mémoire enfouie qui commence à rejaillir». Elle a également rencontré un ancien combattant républicain, installé aujourd'hui à Bayonne, et une romancière qui travaille sur cette histoire.

    A travers leur histoire familiale, tous retrouvent l'histoire de la guerre civile d'Espagne, une guerre qui reste encore actuellement fortement ancrée dans les mémoires… »

    Source : Le Journal du Pays basque

  • ZORRO Y BERNARDO ...

  • BAYONNE: DERNIERS JOURS DE L'EXPO "ROCK" AU CARRE BONNAT

    L'exposition Rock au Carré Bonnat ( 9, rue Frédéric Bastiat à Bayonne) ferme ses portes  lundi 26 avril. L’entrée est libre : Il ne vous reste que quatre jours !

    « Le rock est un élément perturbateur qui n'est pas dans les rails de la société. Il se rapproche ainsi de l'art contemporain et de cet esprit qui voit le monde différemment. Ils sont à la fois énergie et contre culture» prévenait dans le Journal du Pays basque, François Loustau , commissaire de l'exposition.

    Ce ne sont  donc pas les clichés du rock, ni même  la musique qui sont  mis en avant, mais bien plutôt la relation entre art contemporain et culture rock. Les  jeunes artistes (nés entre 1972 et 1980) qui participent à cette exposition  nous proposent  peintures, sculptures, vidéos, univers auditifs ou visuels , comme une exploration  des comportements liés à l'univers rock :

    Vous pouvez ainsi découvrir  les vidéos de Fabien Giraud et de Camille Henrot  sur les comportements de groupes sociaux épris de musique, les dessins  de Pauline Fondevila, les installations d’Iñaki Garmendia, artiste de Bilbao, les  peintures d’Elodie Lesourd . Arnaud Maguet   ravive notre mémoire en maniant d’anciennes cassettes d’enregistrement, des tissus hippies, nous proposant un rendez-vous avec les Beatles ;  Grégory Cuquel et ses sculptures détournent des objets quotidiens de leur contexte ; le collectif Colombina’s   présente un documentaire sur la scène musicale de Fontarabie et remonte aux origines du rock basque.

    A ne pas rater, une  dernière visite commentée  par François Loustau, commissaire de l'exposition, ce samedi 24 avril à 11 heures !

    +infos: Musée Bonnat